L’économie montagnole et le progrès agricole Tederic M.

- Tederic Merger

Tiré de "Quand l’Ariège changea de siècle", de Pierre Salies aux éditions Milan/Résonances (1982),p. 294 :

"Assez rapides dans la "Basse Ariège", les progrès étaient évidemment beaucoup plus lents en montagne.
On a parlé de routine, de méfiance, de paysans têtus et bornés"...
Le montagnol n’est pas inapte à l’agriculture de progrès. Mais le progrès de l’agriculture a été obtenu en vue des cultures de plaine, non de montagne."

J’abonde dans ce sens : les centres de décision ou de recherche technologique concernant aussi la montagne n’étant pas en montagne, les technologies, aussi bien que les réglements, ne sont pas adaptés à la forte spécificité montagnole.

J’avais déjà fait une remarque de cet ordre au sujet de la législation du travail qui impose un minimum de température (17° ? je ne suis pas sûr) dans les locaux d’habitation des travailleurs (dans le cas où ils ne peuvent pas habiter chez eux). Imposer une telle température en haute montagne en hiver, c’est sans doute coûteux, et ce n’est peut-être pas nécessaire.
Des activités économiques salariées peuvent en être empêchées.

Un gran de sau ?

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