Tèrra e Libertat

A quoi sert des discours comme celui de M.Lartigues ? A démobiliser les gens comme moi par exemple.
Un jeune qui a réapprit la langue à l’école, avec la mami et les amis.
Je me sens occitan et bearnais, bigourdan par mon père aussi, gascon quand je sors de mon Bearn et je critique aussi le mouvement occitaniste.
Je le critique pas de votre manière qui m’exaspère sérieusement mais plutôt intelligemment.
Vous dites vouloir gagner des occitanistes mais vous les faite fuir complet.
Bref vous dites que tout est foutu parce que la langue crève et qu’on se fait coloniser etc.
Je pense au contraire que nous vivons la meilleure période pour notre revendication, une période qui va être historique ! Nous allons vers une crise générale du capitalisme, la seconde et là pire depuis 1929.
Une crise bien plus qu’économique, une crise de civilisation.
Nous le constatons le capitalisme a tout marchandisé, plus grand chose n’a de sens mise à part le pognon.
L’état central va se désagréger petit à petit et va perdre le soutien de la population.
Tout cela devrait nous encourager !

Alors quel est notre rôle à nous, patriotes ?
Proposer peut être un projet de société un peu plus vrai que celui actuel.
Un projet avec des racines, de la force, un projet qui dénote avec Paris Bruxelle, New York ou Londres.
Voilà pourquoi AMAIUR a remporté les élections dans la CAV.
Vous voyez notre problème qu’un d’un biais culturel alors qu’il est seulement politique.
La révolution algérienne a été faite en français, la notre la sera surement aussi. Mais la révolution algérienne avait un projet.
Le problème de l’occitanisme c’est qu’il ne veut pas laisser la main aux jeunes (qui se sentent occitan aussi désolé..) car les pontes occitanistes ne veulent pas laisser les places chaudes.
40 ans de bon et loyaux services, il serait temps de passer la main.
Il désire aussi à tout pris s’institutionnaliser alors que nous devons retourner per carrèra, au militantisme de base.
Mais si il n’y avait pas eu ces maudits occitans en Bearn et ailleurs il n’y aurait plus grand chose de vivant pour la jeunesse.
J’ai jamais vu depuis 8 ans que je milite pour la tèrra autant de vaches béarnaise sur les voitures, autant de gens qui se réapproprient la langue, l’identité de manière normale.
Et çà je le vois partout ou je passe du temps (Tolosa, en Carcin) il y a une vague de fond qui s’amorce.

Dans les landes la situation est fort différente, pays plus pauvre que le Bearn, climat agréable, pas colonisé comme ipparalde alors nous devons aussi réfléchir différemment.
Comment réveiller le sentiment gascon ? Peut être en lançant un mouvement anti-speculation, anti-colonisation sur la côte, toucher des gens du coin faire de la politique.
Si le basque est aussi vivace en Ipparalde c’est parce que depuis 40ans il y a un mouvement révolutionnaire qui a dénoncé inlassablement la colonisation, un mouvement qui est allé au début à contre pied de la société basque traditionnelle cléricale et réactionnaire.
Quand les Abertzale de 40ans nous racontent qu’ils se faisaient péter la gueule par les rugbymens parce qu’ils diffaient des textes on peut comprendre que leur situation n’était pas plus facile que la notre.
Aujourd’hui la langue basque c’est un projet. C’est un projet parce qu’ils sont en rupture avec la France pourrissante.
Récemment nous nous sommes présentés dans un canton rural du nord du Béarn (Arzac). Comme force de gauche et occitane (béarnaise). Nous avons fait plus de voix que le front de gauche, et à quelques voix de battre Europe Écologie.
Avec un mot d’ordre clair : Cau Cambiar !
Nous sommes passés dans les fermes, chez les gens, et nous pouvons vous affirmer qu’un discours sur la terre passe largement.
Voilà les renseignements. caucambiar.wordpress.com
Vous pouvez voir que le mouvement pour la défense de la terre est porté par des jeunes. ET qu’ils sont pas envoyés par un service toulousain d’occitanisation des terres bearnaises.

Vous citez tout le temps les basques mais les souletins jouaient dans les années 80 le rôle des anti-occitans aujourd’hui.
Pire le basque a été unifié et pas l’occitan.

Alors de ma vision vous en faites ce que vous voulez mais ne tenez pas des discours aussi dépressif et aussi faux.
Aujourd’hui il y a tout qui meurt, donc à partir de çà proposant quelque chose de vivant, de neuf, de coloré pas un truc du passé mais du futur on y arrivera.
Il y a encore des gens enracinés ici et d’autres qui s’y enracinent.

Grans de sau

  • Je découvre ce message « Terra e libertat » ni signé ni daté et qui semble être passé inaperçu au moment de son insertion dans le site : ni Ph.Lartigue, personnellement interpellé ni personne d’autre n’a du reste ajouté un fil de réponse.
    Le contexte, la référence à « caucambiar.wordexpress.com » dont les messages remontent à 2011 et tournent autour d’élections locales (cantonales, je pense) évoque une contribution déjà ancienne et il n’est pas certain que son auteur, un jeune arzaquois peut-être, ait continué à lire notre site. Nous verrons bien.

    Il me semble que ce message mériterait une réponse. Je m’y risque,à titre tout à fait personnel : je n’engage en aucune façon gasconha.com dans ce que j’écris.

    D’abord, il émane de ce message un ton d’enthousiasme juvénile, une volonté d’engagement qu’il faut saluer ; comme il faut s’y attendre en pareil cas elle me semble charrier le meilleur et le pire.
    Le meilleur d’abord : vouloir lancer des initiatives locales à partir des problèmes locaux est certainement une bonne chose ; pêle-mêle l’auteur énumère « un mouvement anti-spéculation, anti-colonisation sur les côtes, agir avec des gens du coin pour faire de la politique » etc… .
    Sous réserve de ce qu’on peut mettre concrètement derrière ces projets, je dirais a priori « pourquoi pas ? » sans oublier la défense des agriculteurs (surtout dans la direction d’une agriculture plus raisonnée que productiviste), des paysages ruraux et de l’environnement , etc… , tous thèmes qui ne devraient pas choquer notre jeune contributeur.
    Du reste c’est une approche de la politique qui semble se répandre, quoique pas toujours avec de grands succès électoraux (cf la liste D.Bové/J.Boussion dans notre région aux récentes élections régionales, liste un peu « attrape-tout » alors soutenue par nos occitanistes politiques, d’ailleurs).
    Un autre point à concéder de mon point de vue (pas unanimement partagé ici) : « s’il n’y avait pas eu ces maudits occitans -lire occitanistes de terrain- en Béarn, il n’y aurait plus grand-chose de vivant dans la jeunesse ». Soit, là encore.

    Là où ça se gâte à mes yeux :
    Malgré l’affirmation « jeune » et le confllt de génération revendiqué avec la « vieille génération » occitaniste aux manettes depuis 40 ans, tout se passe comme si le jeune contributeur écrivait il y a 40 ans justement, depuis les milieux de l’extrême–gauche française de l’époque (ça n’a pas tellement changé de ce côté-là et c’est un parfum que notre jeune ami a dû pas mal respirer ) : aucune distance prise avec les automatismes verbaux, aucune rénovation de la pensée (même un certain localisme était perceptible, par exemple chez les « Maos » de ma jeunesse) : c’est toujours l‘éternelle lutte du bien (« nous,les progressistes » ) contre le mal (les capitalistes, les « réactionnaires ») etc…
    Aucune remise en cause des notions, des intérêts, des pratiques qui se cachent derrière l’usage immodéré de ces catégories aussi commodes qu’immuables alors que le monde a tellement changé depuis ces temps héroïques qu’elles ne sont plus du tout opérationnelles.
    Aucune réflexion, par exemple, sur le caractère financier et mondialisé de la forme de capitalisme actuellement dominant alors que d’autres types de capitalismes essayent de subsister, se cachent presque en attendant d’éventuels jours meilleurs, en tous cas des formes de capitalisme guère prédatrices : un certain capitalisme familial qui n’a pas disparu malgré les coups de boutoir du capitalisme financier mondialisé, le capitalisme « rhénan » d’outre Rhin ringardisé par les media eux aussi mondialisés et les écoles de management qui le sont tout autant, etc… .
    Rien sur ce qu’on peut attendre de l’économie sociale et solidaire, dans les limbes il y a 40 ans et qui devient une part significative de nos économies, en France par exemple, etc…
    Un exemple typique de cette paresse intellectuelle : la référence, déjà obligée dans la gauche progressiste des années 70, à la Révolution algérienne dont on voit bien aujourd’hui qu’elle a accouché d’une guerre civile effrayante, préparée par l’islamisation de la société promue dès le début par ladite révolution et surtout la confiscation, qui dure encore, d’une richesse nationale considérable par la clique militaro-politicienne de l’ « Etat profond » ; rien qui soit un exemple, de près ou de loin .
    Et tout de suite après, référence obligée appelant l’autre, l’appel aux révolutionnaires basques (toujours le même complexe !) en des termes qui à mes yeux invalident la démarche : outre des affirmations un peu bizarres (qui sont ces « abertzales qui diffaient - ?? ?- des textes «  ? ), notre jeune auteur écrit que « aujourd’hui, la langue basque est un projet. C’est un projet parce qu’il est en rupture avec la France pourrissante ».
    Une langue n’est pas un projet, sauf à avouer qu’à l’instant où on parle, elle n’existe pas, pas du tout même ! Et le croire est bien un des points qu’on peut reprocher à l’occitanisme « du sommet » ; l’ aménagement d’une langue, son mode de présence à la société certes peuvent être un projet mais pas la langue elle-même ; surtout qu’on peut alors passer rapidement, invention pour invention, du projet de langue au projet de nation (« occitane » dans le cas précis) qui n’est ni prouvée historiquement, ni inscrite dans une quelconque volonté générale et qui dissoudrait immanquablement la Gascogne et la gasconnité.
    Et enfin, quelle tristesse de concevoir un projet « contre » quelque chose, gage d’échec assuré au demeurant ! Bien évidemment la France, dans son état actuel, politico –social et institutionnel, présente bien des défauts mais un projet « contre » elle révèle aussi de profonds complexes (désolé de le dire mais on croirait entendre les jeunes apprentis djihadistes …) .
    Et dernier point à relever : bien que notre jeune auteur se sente béarnais et même gascon quand il franchit la frontière du Béarn (soit, là encore) il avoue, dans son admiration du projet « abertzale » : « pire, le basque est unifié, pas l’occitan ». Il y a visiblement du regret dans ce constat. Alors pourquoi écrire en gascon béarnais dans Caucambiar ou Libertat Béarn, antennes locales de l’« Esquerra Révolucionaria d’Occitania » (tout un programme !) ? Mais au fait, puisque la langue n’est qu’un projet, pourquoi se priver ?

  • Marcel Jouhandeau interpellant les jeunes gauchistes défilant sous ses fenêtres en mai 1968 : "Rentrez chez vous, dans dix ans vous serez tous notaires !"
    Ils n’ont souvent même pas attendu 10 ans. Effectivement, la plupart des cadres gauchistes (trotskystes, maos et autres) de mai 68 sont pratiquement tous devenus des néo-conservateurs réactionnaires et n’ont fait que trahir le peuple au nom duquel ils parlaient en toute illégitimité, puisqu’ils étaient quasiment tous issus de la bourgeoisie (je ne citerai, entre autres, que le nom de l’infâme Philippe Val). Qui était à la FAC en 1968 ? Pas les fils des prolos, et c’est bien parce que c’étaient les fils des notables qui défilaient que le préfet Grimaud n’a pas reçu l’ordre de Fouchet ou de Marcellin de faire tirer dans le tas. Ce n’aurait pas été le cas si ça avait été des prolos véritables. Pourquoi croyez-vous que la CGT de Séguy s’est désolidarisée des étudiants ? Les communistes connaissaient parfaitement l’origine sociale des pseudo-révolutionnaires étudiants et les méprisaient. Un gauchiste est généralement un fils de bourgeois honteux, un de leurs avatars semble être le bobo actuel, véritable bourgeois qui n’assume pas sa véritable appartenance socio-économique et essaie de se faire passer pour quelqu’un d’autre. Le type même de celui qui milite en faveur des sans papiers, des migrants, mais à qui il ne viendrait jamais à l’idée d’en loger un ou deux chez lui, ne serait-ce que pour mettre en accord les paroles et les actes. Ou bien le zélateur de la mixité sociale qui prend bien soin que sa progéniture ne soit pas scolarisée dans le collège de quartier, dont la population est tout de même un peu trop colorée. Je parle en connaissance de cause, je suis enseignant et ai bien observé le phénomène.
    Le destin éternel d’un gauchiste est d’être un social-traître.
    La force du mouvement basque est de n’avoir jamais été entre les mains ni des gauchistes ni des folkloristes réactionnaires de type félibrige. Sabino Arana ne l’était pas, l’ETA historique n’est ni l’un ni l’autre pour qui connaît son histoire.
    Tous ces mouvements gauchistes du type Tèrra et Libertat, Anaram au patac etc... sont de cette veine stérile dont les membres seront tous notaires un jour.
    Comme ils sont jeunes, ils ont droit à toute notre indulgence.
    Mais comment ces jeunes occitanistes osent-ils se comparer aux Basques ? Les Basques ont tout de même de la gueule et du panache, eux. Je vous rappelle que Philippe Bidart faisait sauter les agences immobilières et a passé plusieurs décennies en prison, il ne s’est pas contenté de se déguiser en "punk à chien". Les nationalistes basques, je les fréquente régulièrement depuis des années et ai parmi eux pendant une année. Je vous affirme qu’ils ne ressemblent en rien, même physiquement, aux gens de Tèrra e Libertat, Anaram au Patac ou autre mouvement régionaliste occitan. Ils sont crédibles.
    Misère des régionalismes méridionaux !

    Philippe Lartigue (quand j’écris en français, je préfère à Halip Lartiga)

  • Je connaissais la phrase très réaliste de Jouhandeau mais je trouve un peu excessif le déterminisme social de Philippe.
    Au demeurant, cette appartenance sociale était bien celle des jeunes émeutiers gauchistes parisiens de 1968 mais certainement pas celle des jeunes révoltés "périphériques" de 2015, même s’ils épousent exactement la même phraséologie que ceux d’il y a 45 ans.
    Anecdotiquement, au sujet du préfet Grimaud, il se trouve qu’un membre de sa proche famille m’a dit il n’y a pas longtemps que sa retenue dans l’usage de la force au moment des barricades et de l’occupation de la Sorbonne était surtout le fait de ses options et de son tempérament personnels.
    Quant aux nationalistes basques, Philippe et moi n’en avons pas la même appréciation, certes ; du reste la sienne est le fait de contacts personnels quand la mienne est à la fois indirecte et livresque mais je partage ce qu’il dit de leur engagement pour le meilleur et pour le pire : je n’ai jamais pu m’empêcher d’éprouver une certaine estime pour Philippe Bidart qui bouzillait un certain nombre de choses - et une autre personne au passage - mais aussi, très sciemment sa propre vie et qui l’acceptait spartiatement. Ce n’est sans doute pas le cas de nos olibrius .

  • Cet article « Tèrra e Libertat » fait écho à la candidature de « Libertat » (Esquèrra revolucionària d’Occitània) dans le canton d’Arzacq en 2011.
    Je ne peux pas dire pourquoi l’article n’est pas daté.

    Un còp de mei, je partage largement l’avis de Gerard.

    Tout en regrettant sa phraséologie révolutionnaire et anticapitaliste, et le peu d’importance accordé à la dimension gasconne, je sympathise avec l’enthousiasme patriotique, avec la générosité du jeune qui s’exprime ici.

    Je partage aussi certaines idées du programme électoral, comme :
    « De mei, que sostienem lo desvolopament d’ua urbanisacion coerenta. Aquesta urbanisacion uei que’s minja tèrras agricòlas mentre que los lotjaments vuèits se contan per centenats, que favoriza los ostaus individuaus shens respóner aus besonhs de lotjaments. Non volem pas mei que las nostas campanhas e sian ciutat-dromidèras de las vilas mei importantas mes que volem que las navèras construccions e sian ua part integranta deus nostes vilatges e vilòtas. » (https://caucambiar.wordpress.com/page/3/)
    S’ils avaient gagné l’élection cantonale, ils auraient donc voté contre les politiques départementales de développement à tout va de zones d’activités et d’habitat excentrées et mal reliées entre elles, contre les lotissements médiocres et dévoreurs d’espace naturel...

    De plus, le titre « Tèrra e Libertat »... que m’agrada ! à condition qu’on roule bien les deux "r" de "Tèrra" !-)
     Tèrra : la connaitre, la comprendre, la cultiver et l’habiter raisonnablement, écologiquement...
     Libertat : résister individuellement et collectivement aux modèles qu’on veut nous imposer du dehors ; inventer autre chose...

    En 2015, il y a eu de nouvelles élections cantonales, avec des cantons beaucoup plus grands dans les zones rurales.
    Il y a eu encore quelques candidatures occitanistes, sous l’étiquette "Bastir !", notamment dans le département du Gers, où elles ont obtenu parfois quelques % ; à Arzacq, qui est maintenant dans le canton d’Artix et du Pays de Soubestre, il n’y a pas eu, d’après ma vérification, de candidature occitaniste.

    Je me souviens aussi d’il y a longtemps (années 80, 90...) : il y avait déjà ici et là des candidatures occitanistes aux cantonales, avec parfois des résultats qui semblaient encourageants ; mais sans lendemain.
    C’est selon moi le signe que quelque chose dans ce "logiciel" n’a pas bien fonctionné, et ne fonctionne toujours pas.

  • Ce qui ne fonctionne pas dans ce logiciel c’est la relation à la réalité des territoires, incluant tout l’aspect symbolique, aussi réel que le matériel ; dont une identification à la gasconité desdits territoires, masquée par une revendication "occitane" perçue par à peu près tous les électeurs concernés comme vague, éloignée, un peu irréelle.

  • "Voilà pourquoi AMAIUR a remporté les élections dans la CAV."

    ... ce n’est évidemment plus actuel, en regard des élections plus récentes...

    "La révolution algérienne a été faite en français, la notre la sera surement aussi. Mais la révolution algérienne avait un projet."

    S’ils s’étaient informé un peu avant d’écrire, ils auraient pu savoir qu’elle n’avait pas "un projet", mais deux. Le premier, une Algérie démocratique, séculaire et multilingue, fut éliminé par les service secrets de l’autre, avec des actes comme l’assassinat de Ramdane Abane en 1957. L’autre, celui de l’arabo-islamisme totalitaire, est au pouvoir en Algérie depuis pluis d’un demi-siècle, avec quelques petites variations qui au fond ne changent rien.

    Le fait que ces partisans d’un prétendu projet occitan, même en 2011, se réclamaient de la prétendue "révolution algérienne", ne savant rien, par exemple, de plusieurs décennies de combats de la Kabylie pour son émancipation contre la dictature "révolutionnaire" algérienne, pourtant des choses facilement répérables en France et aussi bien connues en milieux catalanes ou basques en Espagne, nous montre bien que ce ne sont absolument pas des activistes pour l’émancipation régionale tournés un peu vers l’ultra-gauchisme, mais bien des pseudo-gauchistes totalitaires masqué comme régionalistes, avec une masque qui ne cache pas trop bien.


Un gran de sau ?

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