Le Canard Gascon

- Tederic Merger

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"Trouvé par hasard... j’aime bien le dessin."
[]

Voir en ligne : Le Canard Gascon

Grans de sau

  • Tout comme vous Gascon, je me tarque d’être Québécois, cette fierté de notre patrimoine et de notre langue :
    Que seram çò que bastiram est aussi vrai pour vous que pour nous !
    Vive le Québec libre

    Réponse de Gasconha.com :
    "Que seram çò que bastiram" est un beau slogan, parce qu’il met l’accent sur le fait que nous n’avons pas seulement un héritage à conserver, mais qu’il faut le faire fructifier (bastir = bâtir).
    Quant à la comparaison Québec-Gascogne, elle mettra vite en évidence que les gascons ont beaucoup de travail à faire...
    Mais on les excusera, parce qu’ils n’ont, eux, jamais été portés par la puissance française.

  • J’ai feuilleté le dernier numéro : quasi exclusivement sur le Gers
    le Gers, le Gers, le Gers, ce n’est pas que le Gers, la Gascogne !!!
    et le Golfe de gascogne alors, c’est le lac de Gimont peut-être ????

    Réponse de Gasconha.com :
    Exact, Christophe, et vous prêchez ici des convaincus (et d’autres qui ne le sont pas, ce qui est très utile), mais...
    j’ai remarqué que "le Canard gascon" lorgnait (ce n’est surement pas le mot pour un canard) un peu vers "le Moun".
    Ce serait bien qu’il réussisse une acclimatation en Marsan, et ça ferait une Gascogne un peu moins étroite. Il faut voir aussi que c’est très difficile pour un magazine publicitaire de conquérir de nouvelles terres.

    Maintenant, c’est vrai, comme beaucoup de gersois, ils se sentent sans doute comme le coeur de la Gascogne.
    Sympathique mais un peu gênant pour les autres gascons !

    Ça me rappelle un article récent de "Sud-Ouest" sur le festival des bandas de Condom, qui disait que cette année, beaucoup de bandas étaient venues "d’Aquitaine"... un peu comme si des bandas de Targon (Entre-deux-Mers), Barsac (Graves), Duras... venaient d’un autre monde...
    [Tederic]


  • En tout cas, le livre édité sous le nom de "La Gascogne rurale" a avec beaucoup de pertinence une couverture "vasconne".

    www.lecanardgascon.com/boutique

  • D’autant plus que le terme de gascon "pris en otage" par les Gersois (en fait, par les institutions locales, cf la polémique d’il y a 2 ans sur le Pdt du CG du Gers qui refusait aux Landes de se dire "de Gascogne") éclipse les deux seules appellations authentiques que sont l’Armagnac et l’Astarac (et une ribambelle de pays mineurs).

    Cependant, tant qu’il y a encore un peu de Gascogne en Midi-Pyrénées, c’est que la midi-pyrénéisation qui touche la Bigorre a encore de l’adversité.

Un gran de sau ?

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