"Alava, comme je t’épouse" : Partie I (21-02-2014)

- Tederic Merger

A la demande de Tederic, je mets en lien une partie de mes diaporamas de mon récent petit voyage au Pays Basque espagnol.

Il vous suffit d’avoir un compte Facebook (c’est standard de nos jours). J’ai basculé l’album en public, il n’y a rien de très intime, sauf peut-être parfois votre serviteur qui figure sur une photo ou autre, c’est quand même son mur Facebook ! : )

Vous y trouverez des réflexions diverses autour du fait basque ainsi qu’autour de l’aménagement du territoire. Je vous en souhaite bonne lecture, et vous invite, si vous le souhaitez, à commenter.

Cette première partie me fait quitter le Béarn pour arriver en Guipuzcoa via l’autoroute : halte à Mondragon que les Basques nomment Arrasate depuis le 20ème siècle (ce qui me semble exagéré, voir la discussion dans le lien).
[Vincent P.]

Voir en ligne : "Alava, comme je t’épouse" : Partie I (21-02-2014)

Grans de sau

  • Vincent P,tel un démon tentateur,a presque réussi à me faire basculer du côté des adorateurs de Fesse de bouc (pardon, de Facebook) mais tel un vaillant petit village vascon,je résiste encore à ce nouveau standard . J’y perds cette fois-ci,c’est sûr ...Ah,s’il pouvait changer sa vidéo de format !

  • Il est méritoire de résister à Facebook.
    On peut aussi l’utiliser par pragmatisme, sans en être "adorateur", et en sachant que les services gratuits se payent généralement d’une manière ou d’une autre.
    Le présent ligam propose un album photo de Vincent diffusé sur Facebook.
    Il y a sans doute d’autres sites web que FB qui offrent le même genre de fonctions, mais FB est peut-être à ce jour le plus populaire, et quand on met quelque chose en ligne, on espère être visité, recevoir des commentaires... que ça vive, quoi !

    Remarquez que Gasconha.com, notamment avec les lòcs, peut fonctionner aussi comme un album de photos qu’on peut commenter...

    Pour Gasconha.com comme pour Facebook (toutes proportions gardées !) se pose la question du devenir des documents et des textes confiés gratuitement par les internautes.
    Je remercie au passage les gasconhautes pour leurs contributions et leur garantis
    que Gasconha.com n’a pas l’idée de faire de l’argent avec des bases de données de profils de consommateurs !

    L’album "Alava, comme je t’épouse" de Vincent sera-t-il consultable dans 50 ans, les lòcs ou les grans de sau de Gasconha.com le seront-ils aussi ?
    Rien n’est garanti.
    La bibliothèque d’Alexandrie a brûlé...

    Concernant Gasconha.com, je suis content de voir qu’une équipe d’administrateurs se met en action progressivement, et que son existence n’est déjà plus liée à une seule personne.


Un gran de sau ?

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