Ariane Daguin vote pour "Occitanie"... par défaut

- Tederic Merger

"Si j’avais un nom à choisir pour la future région, ce serait la Grande Gascogne"

Voir en ligne : Le Midi libre

Grans de sau

  • Midi-Méditerranée. Languedoc etc...
    De toute manière, les Gascons seront les cocus de l’histoire. Le Gers et les Hautes-Pyrénées ne seront que le trou du cul de cette région qui, de toute évidence, est avant tout méditerranéenne, ce que n’est pas la Gascogne.
    VAE VICTIS

  • Le titre de l’article est excessif et manipulateur, normal c’est Midi Libre de Toulouse ! Mais A. Daguin confond aussi la Grande Gascogne avec la fusion des régions...bref, un mélange des genres, des raccourcis, une confusion généralisée des racines...mais il faut bien lire et tout lire !

    "Je n’appartiens ni au Midi, ni au Languedoc, ni aux Pyrénées, ni au sud, mais à la Gascogne. Je suis née à Auch et mon âme est gasconne. Nous sommes plus proches des Landes et de Bordeaux que du Midi et de Montpellier. D’ailleurs, si j’avais un nom à choisir pour la future région, ce serait la Grande Gascogne. Mais je comprendrais que du côté de Montpellier on ne soit pas d’accord", dit-elle, ajoutant qu’à défaut, son second choix serait "Occitanie".

    Le journal titre avec le deuxième choix par défaut ! Voilà le principal défaut de l’Occitanie, un générique, même en cuisine ! Et pourtant la cuisine gasconne a du goût ! la cuisine "occitane" est insipide, elle n’a jamais existé !

  • Midi Libre est le journal de Montpellier, et non de Toulouse. Toulouse, c’est la Dépêche, dont la diffusion, à une époque, s’étendait jusqu’au Béarn.

    Dans tous les cas, derrière les confusions de Madame Daguin (Grande Gascogne ? Est-ce un trait d’humour ?), il y a là la constatation de ce sentiment des gens du Gers et des Hautes-Pyrénées, qu’ils ne sont pas du "Midi".

    Je retrouvais cela dans mon enfance. Mon grand-père, béarnais de l’Est, ne cessait de me dire que "nous ne sommes pas du Midi", m’expliquait combien la mentalité différait (et il le regrettait, car il trouvait les gens plus sympathiques dans le "Midi"), alors même que je me familiarisais avec les thèses occitanistes, et donc que je ne comprenais pas cette distinction qu’il voulait introduire avec ceux que les cartes me disaient être mes frères.

    En somme, Madame Daguin se fait l’écho de ce sentiment, à Auch, alors même que l’on aurait pu croire que la proximité de Toulouse aurait entamé les choses (j’insiste cependant que Toulouse, ce n’est pas Montpellier, la vallée de la Garonne est un espace de transition).

    Elle l’exprime avec ses sensations. "Plus proches des Landes et de Bordeaux". L’exclusion des Pyrénées de son sentiment d’appartenance s’explique mal, tant ces montagnes sont en face, mais il est certain que la montagne est son propre univers.

    Dans tous les cas, c’est la preuve qu’il ne faut pas abandonner à leur sort les Gascons orientaux et qu’il faut urgemment que les collectivités territoriales des zones gasconnes de la Grande Région toulousaine nouent des liens institutionnels avec les zones gasconnes de la Grande Région bordelaise.

  • Bonjour à tous ,
    C’est pas dans mes habitudes , mais là , trop c’est trop !
    Depuis le début de l’année , on assiste à Auch à une grande offensive de l’Occitanisme tout azimut !
    Peut être que c’est dans l’optique de la " grande réunification " de notre futur région ;Mais on voie dans ma ville un fleurissement de la croix de Toulouse des plus excessif ...
    Tout les symboles Gascon on disparu . Déjà , à l’entrée de l’agglomération vous voyez " Aush " associé à la croix sur le même panneau . Au fronton de la mairie , on peut voir le drapeau de l’Europe , de la France et de la même taille celui du conseil général qui est ...la croix occitane .Dernièrement en ville , on a distribué de belles affiches ou l’on explique qu’ Auch c’est en occitanie !
    Je me souviens de grands panneaux , à l’entrée d’Auch , où il se disait ( un peu naîvement ...) Auch capitale de la Gascogne et du foie gras !La ville se pavoisait régulièrement avec de grands étendards au couleur rouge et blanc , encadrant le blason de la cité ; l’agneau de l’archevêque et le lion d’Armagnac ; de même on pouvait voir le blason de la Gascogne sur un drapeau à la mairie ;
    Sans me demander mon avis , on a fait de moi un occitan , par un tour de passe-passe , presque un coup de poignard dans le dos ; je me sens dépossédé de mon identité !
    Je râle dans mon coin , mais vraiment , c’est mariole , Auch est devenu le satellite du grand soleil Toulousain ...
    Quelqu’un ,quelque part, à décidé que je ne suis plus Gascon !
    Comme pour mes arrière -grand-parent qui se sont fait " Franciser " de force , je me suis fait " occitanisé " !Les même méthodes pour le même résultat . Tout pour une capitale Toulousaine qui grossis démesurément au détriment des moyennes et petites villes qui la ceinture ...
    Sans doute je force le trait , mais je l’ai amer !
    Adishatz

    • Je me souviens aussi, dans mon enfance, dans les années 90, quand nous passions par Auch, du lion d’Armagnac qui flottait à la mairie. Peut-être le seul cas dans tout l’Armagnac, et c’est un beau drapeau.

      Pour le reste, râler dans son coin, nous le faisons tous. Merci à vous de venir faire état publiquement de votre mécontentement, qui s’ajoute à celui d’autres, et montre combien l’occitanisme est loin de convaincre tout le monde. Il y a par ailleurs des solutions.

      D’abord, toutes ces décisions sont le fruit de personnes. Certaines sont même actives sur le net et sont, figurez-vous, très sympathiques. Il suffit de les contacter, même si en effet, il est très difficile de leur faire entendre raison quant à leur catéchisme occitan. Alors, il reste à contacter la mairie, amiablement. Voire même d’engager un contentieux sur ces questions, devant les juridictions administratives (se pose la question du contexte légal).

      Ensuite, il y a très clairement la question, d’actualité urgente, du devenir d’Auch, qui est de plus en plus aspiré par le Grand Toulouse, effet 2x2 voies oblige. C’est une thématique fréquente sur ce site, mais en l’état, la revitalisation du tissu de villes moyennes dont Auch est l’incarnation passerait clairement par une révolution territoriale en France, dont la loi NOTRE est au strict opposé.

      Dans tous les cas, Gasconha.com est ouvert à ces constatations sur place, et observe depuis des années la midi-pyrénéisation de la Gascogne orientale. Il est bon de savoir, à titre personnel, que le Gers est encore bien conscient de sa différence.

  • Grâce à cette revue que je reçois " gratuitement " , je viens d’apprendre que mes ancêtres sont Ibères , viennent de la façade méditerranéenne et ont fondés Auch , Lombez ...
    Ils ont ensuite été supplantés par des Celtes " Volques " ...
    Je suis rassuré , j’avais peur , je me croyais issus de Gascons , eux même issus de tribus Aquitan ...
    César avec son :
    " Garumnan Gallus ab Aquitanos flumen dividit " , avait donc dit des mensonges ! Ouf je suis rassuré !Merci !
    Pages 6 et 7 , vous pouvez lire ensuite un très intéressant article sur l’occitanie Toulousaine qui a sauvé mes ancêtres des Sarrasins et moi de mon ignorance sur l’histoire !
    Tous cela pour me dire quel monde merveilleux m’attend lors de la " Grande Réunification " du 1er Janvier 2016 ...
    Merci , mais finalement je ferais comme mes ancêtres , je reste Gascon ...
    Bien sûr j’ai écrit au conseil de Midi-Pyrénées pour les confronter à leurs invraisemblance littéraire , comme à la mairie d’Auch sur la disparition des symboles Gascons ...
    Par contre un grand bravo à celle de Seissan ,qui n’a pas hésité à mettre les armoiries de la Gascogne sur le panneau de la ville et sur un drapeau devant la mairie !

  • La Gascogne occidentale, celle de la région Apoil, la Gascogne hard, s’en tirera mieux que la Gascogne orientale qui est en grand danger d’effacement, avec la complicité active des occitanistes, qui sont ravis de ce découpage car ils vont avoir une région "Occitanie". Le salut de la Gascogne viendra de l’ouest car les terres limousines, poitevines et charentaises sont radicalement autre chose et cela renforcera ce qui reste d’identité au sud de la Garonne, avec le Pays Basque et les Landes comme locomotives (surtout le Pays Basque d’aiileurs). Les Landes sont peut-être le département qui reste le plus gascon de tous : la Gironde est trop phagocytée par Bordeaux et il y existe un occitanisme résiduel. Le Lot-et-Garonne subit la double influence de Bordeaux et Toulouse et est en fait très peu gascon. La Tarn-et-Garonne est anecdotique en matière de gasconité, les Gers et la partie gasconne de la Haute-Garonne sont toulousains, les Hautes pyrénées sont aussi dans l’orbite de Toulouse, le Béarn est profondément anti-gascon (béarnisme comme occitanisme). Les Landes donc. La côte, même colonisée, vit sa vie propre et de nombreux groupes gascons et/ou gasconisants y prospèrent (dans le Born, le Marensin, le Bas-Adour). Dax et Mont-de-Marsan sont des villes à considérer (Mont-de-Marsan a très bien évolué par rapport à Dax). La Grande Lande, bien que désertique, est aussi très profondément gasconne. La Chalosse est LE conservatoire gascon, bien plus que le Béarn. Les Landes n’ont pour seule référence que gascon et Gascogne (parc naturel régional, France Bleue, les associations) et ce de manière bien moins d’Artagnanesque que le Gers. l’occitanisme n’y a JAMAIS pris. Quant au Pays Basque, c’est le refuge ultime. Donc, vive la régio APOIL, elle nous met en valeur.

  • Il n’est pas du tout certain que les occitanistes obtiennent que la nouvelle région MP-LR s’appelle "Occitanie", et encore moins qu’elle adopte une politique dynamique et efficace de promotion de "l’occitan".
    Les occitanistes qui le croient se font bien des illusions, je pense.
    Reportez-vous en colonne de droite de l’article du Midi libre en lien : les choix des personnalités qui s’affichent "au hasard" se portent assez peu sur "Occitanie", mais plutôt sur "Midi-Méditerranée", "Pyrénées-Méditerranée", "Sud de France"...

  • Certes, il y a le choix des personnalités. Mais sur 24 451 votants en ligne, Occitanie obtient 22.1% sur Midi-Libre et 32% sur La Dépêche. Sans compter ou totaliser avec les autres dénominations proches (Languedoc, Pays d’Oc etc...).
    Il est étonnant que dans le choix "démocratique" proposé par le quatrième pouvoir il n’y ait pas la proposition Languedoc-Roussillon ou Occitanie-Roussillon (Il y a Languedoc-Pays Catalan).
    Les cas de la Bigorre et du Gers sont secondaires car ces pays sont "occitanisés" depuis longtemps dans la "défunte" région Midi-Pyrénées qui a choisi le drapeau "occitan" de Toulouse-Languedoc comme étendard. Ces terroirs de Gascogne ont vendu leurs âmes et leurs drapeaux !
    Vox populi, vox Dei ???
    Une affaire à suivre car il est très facile aussi de ne pas tenir compte de l’avis du peuple... le nom historique de Gascogne ne refleurira pas ni du côté Aquitaine, ni du côté Languedoc ! Requiescam in pace !

  • Il vaut mieux que le nom de "Gascogne" ne ressuscite pas à l’occasion d’une telle réforme territoriale bancale : ce serait nous condamner aux limites administratives en question. La Gascogne gagne beaucoup plus à apparaître à l’occasion du parc naturel ou d’un golfe maritime.

    Il n’y a qu’à voir combien l’équation Gers=Gascogne fait du mal ... alors même qu’elle ne repose que sur de l’attirail publicitaire. Les occitanistes ne savent pas dans cette optique la bêtise qu’ils font en exigeant le nom d’Occitanie pour la grande région de Toulouse ... C’est la perte assurée de la Provence, du Massif Central et évidemment des pays aquitains ... sauf si c’est voulu.

    Dans tous les cas, je ne suis pas d’accord que le Gers et les Hautes-Pyrénées seraient "occitanisés", c’est une vision un peu aquitanocentrée, qui passe sous silence que l’attraction pour Toulouse, d’une part est naturelle, d’autre part est la même en Béarn ou en Agenais, et surtout qui ne tient pas compte des débats qui ont agité les journaux lors de la réforme territoriale : la Chambre de commerce et de l’industrie de Tarbes voulait rejoindre la région de Bordeaux, Alain Rousset parlait d’annexer dans un second temps ces deux départements, ...

    Bref, ce qui s’est passé, bien plus qu’une occitanisation du Gers et des Hautes-Pyrénées, c’est que les décideurs locaux ont été pris de vitesse, qu’ils n’ont jamais réfléchi à la question (alors même que toute personne qui suit l’actualité institutionnelle savait que l’élite planchait sur une telle possibilité), et que quand le débat s’est installé dans la violence que nous avons connue (le président Hollande porte une responsabilité impardonnable : cf l’ouvrage de Fressoz "Le stage est fini"), il était trop tard pour mettre sur la table la seule solution viable : la fusion entre Aquitaine et Midi-Pyrénées, autour du bassin de la Garonne. A défaut, la solution de Glavany Aq+ MP + LR.

    Dans tous les cas, Gers et Hautes-Pyrénées n’ont pas oublié leurs racines, sauf éventuellement dans ce lotissement géant qu’est devenu l’Isle-Jourdain.

    Plus haut, un intervenant anonyme disait que la Gascogne se revitaliserait par la Grande Aquitaine, tant l’assemblage était informe au sein d’APoiL et qu’il induirait une révolte culturelle (que je suppute sur les départements 64 + 40 + 47).

    C’est assez clair : j’étais en Poitou il y a quelques semaines, au retour d’un mariage en Anjou, et si je voyais bien que le Poitou n’était pas un pays ligérien, qu’il était la porte du Sud de la France, je ne pouvais pas manquer de me demander par quelle folie nous nous retrouvions unis à cette contrée, quand la Vendée, elle, ne l’était pas.

    Mais voilà, ce sentiment, c’est aussi celui des Gascons de la nouvelle Grande Région de Toulouse ! Midi-Pyrénées, convenons-en, ce n’était pas l’exotisme irréductible : le Quercy, le Rouergue, le Pays de Foix, l’Albigeois, disons que des Gascons s’y retrouvent facilement (et des Périgourdins aussi). Mais là, c’est avec la côte méditerranéenne que les Gascons orientaux se retrouvent ...

    Nous avons tous expérimenté le changement surprenant qui s’opère après Toulouse en allant vers Carcassonne, une fois franchi le seuil du Lauragais. Ces sensations rythment l’existence de tout le monde. Le Gersois, qu’il habite Lectoure, Aignan ou même Lombez, sait fort bien, intuitivement, que Montpellier, ce n’est pas le pays, sauf à être un occitaniste borné.

    Aussi, j’ai la conviction que les Gascons orientaux, du moins dans le Gers et les Hautes-Pyrénées, peuvent relever la tête. Le tout est que les Gascons occidentaux leur tendent les bras, et cela peut passer aussi bien par le réseau associatif, par les liens économiques, par le soft power du net qu’à plus grande échelle, par des conventions entre collectivités territoriales (Pau-Tarbes, Mont-de-Marsan-Auch-Agen, Lectoure-Nérac, ...).

    Mais pour ces dernières, cela réclame une élite politique locale sensibilisée à ces questions ... et surtout qui ne soit pas parachutée, car je crois que le vrai défaut de poids politique des élus du Sud-Ouest, c’est avant toute chose que nos pays ont servi depuis des décennies de points d’ancrage faciles pour de jeunes pousses des partis.

    Je suis persuadé que la jeunesse du Sud-Ouest (je n’ose pas dire gasconne) attend les idées qui traduiront notre sentiment de différenciation. Et les maladresses de l’État central aideront.

  • Le Gers reste très agricole , et très attaché à ses traditions . Ce qui se passe à Auch a du mal à pénétrer dans les campagnes ! Nous restons profondément Gascon , par de mille et une manière .Notre façon de nous réunir pour les repas de chasses , pour le loto des écoles , les mariages ...La fréquentation des marchés , la cuisine ...Pour qui a assisté à ses scènes du quotidien peut aisément comprendre que nous sommes Gascon .Un Landais ni ferait pas la différence . On fait nos courses à Toulouse , mais ensuite , vite on rentre " à la maison " ,dans notre petit Gers .
    Pareil pour les Hautes-Pyrénées , la Bigorre , depuis le haut du chemin de mon lotissement , je la voie , c’est un fort inaccessible pour les " occitaniste " .
    La Gascogne est forte de ses différences ,mais quand je roule vers l’océan , je n’ai pas le sentiment de changer " brutalement " de pays . Il y a une espèce de continuité dans le paysage ,les habitudes , ...Pareil quand je file vers Campan ...depuis Auch , je vois la montagne grandir et puis "hop !" , j’y suis dedans ! L’architecture n’est pas pareil , mais les hommes et les femmes de Bigorre sont Gascon comme moi , peut être en plus " rugueux " ...mais Gascon !
    La vrais différence , c’est après Toulouse ! Là c’est le choc !
    Moi j’ai l’impression d’être dans un autre pays !Autre rites , autres accents, autres rythmes ...Mais pour eux c’est la même chose et ils doivent se poser les même questions que nous ! " Qu’es qu’ont va F....avec tout ces Gascons ? "
    J’aime pas trop cette "appellation " Gascon Occidentaux et Orientaux ...Déjà sa installe une démarcation qui n’existe pas réellement . Il y des Gascons en Armagnac , ou en Astarac ou dans les Landes ou au Pays Toys ou en Lavedan ...Mais c’est les mêmes !
    On a rien vendue ! rien lâché !rien abandonné ! Le drapeau , il flotte toujours dans nos coeurs ! A Auch la municipalité la remplacé mais à 10 km , il flotte toujours au fronton de Seissan !
    On parle de l’indifférence Gasconne voire de son indolence ...elle est redoutable et marche dans les deux sens ...rien ne rentre ,rien ne sort !Et se n’est pas 2 ou 3 gesticulations " occitane " qui vont nous émouvoir !Gascon on est , Gascon on reste ...

  • Quel plaisir de lire Torné-Sarte, il parle avec son cœur, avec ses tripes, avec amour, de la Gascogne.
    Un article pareil fait chaud au cœur par sa sincérité, sa simplicité, et sa vérité.... Bravo... Gascon on est, Gascon on reste...

  • Et de plus sa contribution (durable,espérons-nous) rééquilibre l’origine des contributeurs fréquents ou réguliers vers ...l’Est.
    Jusqu’à présent, Tonneins mis à part, presque tous les contributeurs réguliers venaient de l’Ouest gascon.
    Division qui n’est que géographique et en partie linguistique (conjugaisons de l’Ouest/de l’Est, évolution du "d" intervocalique latin en d ou s ,etc...). Mais les Gascons sont bien les Gascons, Ouest et Est tous ensemble !

  • Tonneins n’est ni à l’ouest ni à l’est, ce qui justifie à mes yeux son rôle de capitale pour la Gascogne.

  • Un peu trop au nord quand même....C’est dommage.

  • SEISSAN L’Académie de Gascon a repris ses activités.

    Langue, chant et traditions au programme

    http://lejournaldugers.fr/article/l-academie-de-gascon-a-repris-ses-activites/1844


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