Moi qui suis loin de ma Gascogne natale, j’aime l’idée que l’on puisse faire aimer la langue gasconne qui est belle, expressive, authentique, à travers des histoires, des contes.
Pour habiter un pays, il faut en connaître son histoire et sa langue.
Le drapeau fait quand même un peu ringard. Je préfère le mot bannière à laquelle on se rallie plutôt que le mot drapeau pour lequel on se fait tuer.
Qui teng la lengo teng la clau.
Et on oublie pas que le Gers fait partie intégrante de la Gascogne.