Mixité basco-occitane Arrosères Miqueu

Par contre je ne crois pas du tout au soi disant piège tendu aux occitanistes en écrivant basque par P lartiga.
Il a écrit basque c’est tout.

Je lui signale également que son fantasme qu’il décrit concernant une pseudo haine entre occitaniste et basques c’est du grand n’importe quoi !!!
En effet cela fait quelques années que basques, gascons, occitanistes du Béarn en particulier entretenons des liens très étroits concernant les pédagogies enseignées en ikastolas et calandretas, relations artistiques et musicales, la meilleure preuve c’est la mixité de certains groupes basco occitane, à l’époque du groupe Errobi le batteur et le bassiste étaient béarnais, Verd e blu travaille régulièrement avec Mixel Etchecopar grand musicien souletin et enseignant de basque, le groupe Xarnège actuel est un mélange de musiciens Euskadi sud avec des musiciens gascons, nous même Pagalhos avons travaillé avec Niko Etxart, la liste n’est pas exhaustive si c’est cela de la haine !!!
Décidement je ne comprendrai jamais rien à rien.
a beth leu

Grans de sau

  • Pour y avoir assisté un certain nombre de fois, le coup des 3 pèlerins occitanistes de Libertat qui se déplacent dans les grandes manifestations basques pour y montrer le drapeau occitan (eux-mêmes ne sachant ni le basque, cela s’entend, ni le dit occitan, là c’est plus emmerdant), c’est assez ridicule.
    Cela l’est encore plus quand ils essaient d’intéresser les Basques à leur combat.

    Maintenant, il est certain qu’il existe parmi certaines individualités du milieu régionaliste un tropisme basque (il est plus vaste que cela : j’y reviendrai mais par exemple, ma famille est bascophile) mais c’est toujours eux qui vont vers les Basques, jamais l’inverse.
    Parce que tout simplement, l’imaginaire occitan moderne n’est pas très intéressant pour les artistes basques, trop "étranger".

    Enfin, je confirme les propos de Philippe qu’il existe dans l’occitanisme béarnais une haine tacite des Basques qui s’apparente à la jalousie.
    C’est normal, on n’efface pas des siècles de rivalité entre voisins. Cela ne justifie pas d’aller fricoter avec les Languedociens ou les Limousins qui ne sont rien pour nous.
    Parfois cependant, la haine du Basque se mute en passion tiers-mondiste, Mauléon et Saint-Palais devenant les forêts boliviennes. Alors nos jeunes occitanistes vont chercher l’exaltation auprès des jeunes Basquaises aux franges qui tombent sur les yeux ou des jeunes Basques au catogan.
    Les Basques deviennent un étranger mystique et certains vont jusqu’à se convertir (pour un phénomène similaire, cf les Galiciens d’ETA).
    Pour ma part, cette vision "guévariste" de nos voisins est tout aussi ridicule, mais a le mérite de la sensualité.

  • Vincent P je n’ai pas l’impression, que tu lises ce que j’écris tant tu es aveuglé par ton anti tout et anti ocitanisme.
    Si tu es béarnais comme tu le dis, tu me diras où se situe et me citeras des exemples concrets de la "jalousie" anti basque ici en Béarn..
    Mais je veux du concret et des exemples pas des idées, tes idées.

    Cela fait longtemps que nous travaillons sur le tronc commun de nos 2 cultures, musiques, instruments communs et danses communes avec la Soule.
    Je t’ai cité des artistes et groupes occitans qui travaillent avec nos voisins et amis basques, ça c’est du concret, toi tu ne borne qu’a mettre l’anecdotique avec les jeunes de Libertat.
    Moi même et les Menestrers gascons travaillons avec des amis de la vallée du Baztan sur les sauts parce qu’il y a des similitudes, échanges. Tu vois, pas de jalousie, mais comme tu ne connais même pas ce qui ce passe chez toi et les acteurs qui eux font..

    Cela fait 35 ans, j’en ai 51 aujourd’hui, que nous avons mis en place la Civada et à l’époque Escambis qui avait et a toujours le rôle d’échanges avec les autres langues dites régionales et leurs danses, chants,..
    Nous avons beaucoup travaillé avec les souletins sur les mélodies de montagne souvent communes au niveau mélodique.
    Est ce que tu sais ce que c’est chanter en haute Soule avec papi Chuburru, lui en basque, nous en occitan du Béarn toute une soirée, instants magiques de communion et de partage, est ce que tu sais ce que c’est de danser motchico en haut des Aldudes avec un cercle composé de basques et de béarnais.
    Non tu ne sais même pas de quoi tu parles.

    Tu es jeune je pense et tu as beaucoup à apprendre, je mettrai sur le compte de l’ignorance tes propos acerbes envers tes compatriotes.
    Enfin si tu écoutes les magnifiques voix des soeurs aire des aldudes tu verras qu’elles parlent en bien de l’Occitanie.
    C’est marrant cet entêtement aveugle à vouloir à tout prix dévaloriser ta propre culture, tu as honte de quoi ?
    Alors de grâce arrête de parler de ce que tu ne connais pas, viens plutôt apprendre à chanter dans ta langue par exemple à la tireuse à Pau mercredi soir, c’est sympa et ça te fera du bien.
    Ou alors viens apprendre à danser les sauts et viens danser sur la place du Foirail à Pau, c’est tout les premiers dimanches du moi.
    Il y a plein d’activités en Béarn tous les jours, mais tu dois être ou sourd ou aveugle.
    Je te signale également que pas mal de basques viennent dans le cadre d’échanges donner des cours de danse ici.
    Il m’arrive moi béarnais jaloux.. d’aller en Euskadi, moi et d’autres, enseigner le branlo d’Aussau et les sauts.
    Tu vois ce que tu racontes c’est faux.
    AH je pense que les locutrices béarnaises qui parlent oc et j’en connais, de plus très jolies pour la plupart t’évitent et ne te parlent pas car quand elles voient ce que tu écris forcément.
    Mis je ne doute pas que tu trouveras une jolie basquaise !!!
    ADIU praube Vincent

    Réponse de Gasconha.com :
    Miquèu, avec ce ton raugue et ces paroles cinglantes, c’est encore mal parti pour ce "hiu de discussion".
    Vincent.P est parfois cinglant sur le web, mais il l’est plutôt avec des groupes ou des comportements qu’avec des personnes...

  • Heureusement que danser le Moutchicou assurera le salut du Béarn.
    Il y a aussi un CAPES "Branles dansés" ? On sait jamais, on pourrait y placer ceux qui n’ont pas eu le CAPES "Occitan".
    Moi j’admire les parents qui travaillent pour l’avenir de leurs enfants.

    Pour le reste,
    au Foirail de Pau, j’y fais mes courses ou y finis mes soirées. Dans aucune de ces deux occasions, je n’ai à parler "patois".
    Etonnant, non ? Au demeurant, je remercie l’ami Miquèu de se préoccuper de ma vie sentimentale et il ne fait aucun doute que j’aurais un succès boeuf en alignant trois mots de patois auprès de gentilles fifilles incapables de rouler un r.
    Je prends bonne note. J’y songerai pour quand la vie réelle, celle qui ne se résume pas à la chanson, m’octroiera un peu de temps libre.

  • Cher Vincent P je m’attendai à ce genre de réponse et j’avoue que ton ironie cinglante a beaucoup d’humour.
    Certes la chanson et les danses ne sauveront pas à elles seules notre culture mais ce que tu ne comprends pas c’est que c’est un tout.
    De plus c’était uniquement pour illustrer le fait que des échanges existent bien entre basques et béarnais et là tu ne réponds pas.
    Mon propos était uniquement une illustration vécue pour démontrer que ce que tu avances sur la soi disant jalousie de notre part envers les basques c’était du grand n’importe quoi.
    Pourquoi parle tu de patois, ce terme volontairement dévalorisant de l’appelation de notre langue.
    Tu n’est pas obligé d’écrire motchico avec un u mais ta provoc est étudiée...
    Je te signale quand même qu’il existe un diplôme d’état concernant l’enseignement des musiques et danses traditionelles, grâce à cela des jeunes béarnais travaillent ici.
    Tu as oublié quand même de commenter un point important c’est qu"au niveau de l’enseignement de nos langues nous travaillons ensemble sur le côté pédagogique avec les basques.

    Tu parle du marché de Pau et la je te rejoins, mais encore faudrait il expliquer que Pau est une ville préfecture qui draine une population importante de gens extérieurs au Béarn comme toutes les villes préfectures.
    Vient au marché d’Oloron le vendredi, tu pourras t’exprimer en gascon sans soucis mais parles tu toi même convenablement en roulant les r...
    Il y a de très jolies filles qui parlent en roulant...leurs atouts..
    D’après ce que j’ai compris tu n’es pas toi même un locuteur naturel puisque apparement tu as pris des cours avec l’auteur de la sobirana.
    Il me plairait de parler avec toi en gascon moi qui suis un locuteur naturel, j’aimerais t’entendre car tu donne beaucoup de leçons mais toi même parles tu avec un r roulé non forcé et ça s’entend...
    Ce qui me fait également sourire, c’est le fait que tu critiques les manifs pro guevaristes en Euskadi où tu as des jeunes de Libertat, mais alors qu’y faisais tu ?
    Peut être cherchais tu un peu de sensualité..
    Je t’ai cité l’échange artistique entre Euskadi et Occitania qui est réel et l’imaginaire occitan est très apprécié par nos amis basques et l’inverse est vrai également.

    Je fais partie également des parents qui ont transmis la langue à leurs enfants, mes gosses sont parfaitement bilingues et ma fille ainée parle maintenant 4 langues et j’ai la chance de connaître nombre de parents qui également ont transmis la langue gasconne à leurs enfants.
    Quand tu seras père de famille, et je te le souhaite car c’est un réel bonheur, feras tu de même ?

    Arrête de donner des leçons aux gens qui font le boulot et qui élèvent leurs gosses en transmettant tout notre patrimoine.
    Le jour ou tu auras des enfants on pourra discuter de concret.
    Je sais très bien que nous ne serons jamais d’accord mais ce n’est pas trop grave.
    Cela fait trente ans que je milite pour la reconnaissance de notre culture pas en portant des drapeaux mais avec d’autres en oeuvrant pour les écoles bilingues et écoles en immersion, cela porte ses fruits que tu le veuilles ou pas et ce sans violences et sans mouvement radical armé.
    Sans doute trouveras tu encore à redire mais toi que proposes tu à part tes persifflages constants.
    adishatz

  • Le persifflage est le propre des Béarnais de la plaine.
    Les montagnards, qui sont de grands idéalistes dignement descendus de leurs sommets, n’ont jamais rien compris à notre mentalité de maquignons.
    On ne refait pas son éducation : en Vic-Bilh, on se moque, on est ironique et parfois blessant. On tuerait pour un bon mot et c’est à qui sera le plus spirituel. : )

    Ces considérations anthropologiques et familiales faites, quelques réponses en vrac :


     Je n’accorde pas une importance démesurée à la musique ou à la danse, non pas que je n’y sois pas sensible, mais tout simplement que le patrimoine béarnais est oublié des nouvelles générations. C’est ainsi. Tant mieux s’il existe de jeunes gens qui y consacrent leurs loisirs, voire leur activité professionnelle.
    Très bien également qu’il y ait des relations avec les Basques : peut-être qu’un esprit vif et analytique tirera la conclusion qui fut celle de tous jusqu’aux années 60 : que le fond culturel des Basques et des Gascons est le même.


     La dernière fois que je suis allé à Oloron, je n’ai pas vraiment vu de bérets vissés sur les têtes. Il est faux de croire qu’il existerait en France encore des régions moins changées par la modernité : la France est un vaste espace rurbain dans lequel des villes administrées sur un même moule sont reliées entre elles par des voies rapides qui traversent des no man’s lands agricoles.
    Bref, Oloron comme Orthez, comme Marmande, comme Tonneins, comme La Réole, comme Aire, comme toutes ces villes moyennes ou petites gasconnes sont soumises aux changements contemporains. Et ce ne sont pas les derniers paysans aspois qui se déplacent au Marcadet qui y changeront grand chose.


     Je n’ai pas pris de cours de gascon, je l’ai appris tout seul avec ma grand-mère, comme j’ai pu, maladroitement, en complétant par des lectures que je crois bonnes (Palay, Camelat, ...).
    C’est toujours mieux que de l’apprendre en calandreta dont la langue est un mélange bizarre de titi parisien et de gascon light, et fortement dépendante de la qualité de l’enseignant. Je sais que quand je parle à des néo-occitanophones, j’ai presque honte de prononcer comme on prononce chez nous, ça fait trop paysan.
    Bouher un h, quelle horreur aujourd’hui ! Il faut parler avec le ton monocorde de Radio Pais : "la creaciouououou d’u - heeeeeeu - estaaaaaaat - heeeeu - palestiniàààààà".


     Je ne recherchais pas la sensualité, puisqu’on me demande de parler de moi, je suis en stage en face du Palais de Justice, je vois hebdomadairement le Pays Basque se déplacer pour soutenir les siens, et les comiques de Libertat avec lesquels je vais parler, qui ne savent pas un mot d’occitan, dont la discussion se résume à dire que "les terroristes d’aujourd’hui sont les héros de demain". Ils plantent leur drapeau occitan au milieu des ikurriñak, dans l’indifférence totale des Basques.
    Sur Toulouse, j’ai aussi eu l’occasion de voir les militants du Parti Occitan préparer leur campagne des cantonales, c’était folklo (et la moitié des candidats ne savaient pas aligner trois mots). Donc je sais de quoi je parle à peu près, ce n’est franchement pas mon univers sentimental. Ce qui me fait le plus rire, c’est la rhétorique ouvriériste dans un pays encore un peu rural, ou alors passé au tertiaire. Hihi.


     C’est très bien d’avoir transmis la langue et de repeupler le Béarn au passage. Pas certain que cette langue sera d’une grande utilité pour eux dans un bureau parisien voire new-yorkais, quand ils seront ingénieurs, fonctionnaires, commerciaux, ...
    Qui travaille au pays de nos jours ?
    La différence, c’est que la mobilité plait à cette jeunesse, elle n’aspire qu’à ça, voir du pays, bouger, la variété, la diversité. Le patois de papi est un frein. Le monde de l’ancrage territorial a implosé.


     Pourquoi employer le terme de patois ? Parce que c’est le terme avec lequel les locuteurs naturels sont familiers et que contrairement aux occitanistes, je ne m’arrête pas aux seuls mots, j’essaie de voir ce qu’il y a derrière, et quand ma grand-mère dit qu’elle parle patois, je vois plus de fierté que dans la tentative désespérée de personnes passées par les écoles bilingues qui hésiteront à marquer "Occitan" dans l’un des multiples CVs qu’ils enverront au hasard des offres d’embauche.

    NB : "Motchico" n’est pas la manière correcte de graphier le terme : c’est "Mochico" (vocable d’origine basque au passage).
    Il est marrant de constater que ce sont souvent les anti-occitanistes qui maitrisent le mieux la graphie alibertine, pour s’y être vraiment penchés dessus. : )

  • Une de fois de plus tu parle de choses que tu ne connait même pas.
    Tu ramènes tout à 2 jeunes de Libertat tu es ridicule.
    Tu ferais mieux d’aller voir ce qui ce passe en calandretas mais tu t’y refuses, parce que les gamins y apprennent un gascon "d’origine" et pas un langage light comme tu dis, j’aimerais t’entendre parler, je pense que toi effectivement tu dois avoir quelques soucis.
    motchico est le terme béarnais que cela te plaise ou non, et tu connais le monenh, brosheta.. non
    Tu me fais de la peine mais surtout et avant tout tu es pour plus bête que méchant.
    NOUS LES GENS DE LA MONTAGNE COMME TU DIS N’AVONS PAS LA FINESSE DES MAQUIGNONS MAIS AVONS L’ART d’entretenir une tradition qui s’appelle le patac, j’espère n’avoir jamais à te rencontrer.
    Vraiment tu me fais de la peine.
    Je te laisse à tes certitudes.

    Réponse de Gasconha.com :
    Miquèu, deishatz càder era idea deth patac !
    Eth monde que’s poderén créder que mancavatz d’arguments racionaus... Sàbetz coma son...
    [Tederic M.]

  • Quin sauvatjumi ! Aqueths pastors de la montanha, tostemps a brutalejà’ns a nosautes, praubes nanets sedentaris de la plana !
    Per còp d’astre, que cultivam milhòc au Pont Long d’ara endavant : que poirèi estujà-m’i, darrèr deus grans cabelhs tad evitar lo furiosèr (a/e)spés !

  • Etant d’humeur professorale, je tiens juste à préciser que le débat sur "Mochico" concernait la transcription du terme en graphie normalisée :
    ch représente déjà le son [tʃ], pas besoin d’écrire tch, ou alors il faut écrire tsh (comme les Basques écrivent tx les affriquées), ce qui est évidemment très laid (les Catalans ont tx également).
    Les occitanistes sont très peu rigoureux sur cette question, comme sur d’autres points de détail graphiques.

    Quant à l’origine basque du vocable "Mutxiko", je crois qu’elle saute tellement aux yeux qu’il n’est pas besoin de commenter. : )

  • Pauvre Vincent j’aimerais t’entendre parler en gascon...
    Quand tu parle de l’enseignement linguistique dispensé dans les calandretas tu dis vraiment n’importe quoi, c’est honteux.
    Tous ces gamins pourraient sûrement t’apprendre a bien parler.
    Faut il obligatoirement avoir un béret vissé sur la tête pour parler notre langue, là aussi tes clichés sont à pleurer.
    Tu ramènes tout à 2 jeunes de libertat c’est navrant.
    Au fait le grand savant de la langue, en Euskadi on écrit mochicoa et ici en Béarn au moins depuis Despourrins c’est le mot écrit motchico avec le t prononcé qui est utilisé.
    Tes arguments sont vraiment à pleurer, j’ai l’impréssion que ton rêve est que notre langue disparaisse et même que tu prends un réel plaisir à écrire ce que tu écris.
    Alavetz qu’eth deshi aquiu permor que començas am’hartar.
    adishatz.

  • Au fait Patac n’est pas forcément de la violence physique, je tiens à le préciser des fois que des gens bien intentionnés me taxent encore d’occitaniste sans arguments !!!
    Cela peut être verbal et ce que je propose à notre cher Vincent P, c’est une joute orale linguistique, bien que le rencontrer ne m’enchante guère.
    Mais bon il est bon des fois de dépasser ses apprioris.
    bon dia

    Réponse de Gasconha.com :
    Miélher atau (mès lo Vincent qu’ei dejà a s’estujar hens lo milhòc, ce digot...).
    Mais la joute a déjà lieu dans les grans de sau. Espérons que les gasconhautes y prennent goût !
    Ensuite, dans une joute en gascon, la vieille génération est indûment favorisée, puisqu’elle a pu, beaucoup plus que les jeunes, "pouper" le gascon...

  • Il est probable que Miqueu parle un meilleur gascon que moi, mais pour ce qui est de l’orthographier (cf ses arguments sur Mochico : je suis désolé mon cher Miqueu, mais tu ne comprends pas vraiment ce que tu écris, et je pense que l’IBG boirait du petit lait quand tu justifies ta graphie par celle employée par Despourrins !), je pense que je n’ai pas de leçons à recevoir :)

    Quant aux calandrons, avant que je ne me sente humilié, j’attendrais qu’ils sachent placer correctement l’accent tonique ou prononcer la voyelle finale féminine atone ... "La ba’ka k’èyeuhhh bè’raaa", r à la Piaf, un air de Montmartre dans le patois béarnais.
    Quand ils grandissent, ça donne ça : "Kèttsssssss susssssss Radiou Païs" "Ké s’escoooooouuuuuto ennnnn Biarrrnnnnn suuusssssssss lou ..."

  • Vincent P, ne confond pas un présentateur hésitant parfois je te l’accorde sur radio Pais qui n’a pas été à Calandreta, je le connais, et les gamins de Calandreta, là attention tu t’avances beaucoup sans savoir ils prononcent bien et le r pas mal et je m’y connais un peu..
    Si tu es d’accord je t’invite quand tu veux a la Calandreta de Pau, tu parleras aux gamins et après seulement tu donneras un avis objectif, là tu dis n’importe quoi sans savoir, ça c’est plus désolant.
    bona serrada

  • Bonne rangée de collines à toi aussi Miqueu !

  • Vincent P là je reconnais que tu marques un point c’est vrai que serrada avec 2 r c’est plus la chaîne de montagne... que j’aime tant.
    serada pour soirée c’est mieux en effet.
    Par contre renseignement pris d’un ami enseignant de danses basques il écrit mutxikoak car c’est le motchico dont il parle, je te laisse le soin de vérifier.
    tu me confirmeras si cela est bon ou pas.
    Par contre je te confirme bien motchico écrit comme cela et prononcé également comme ça du moins en Aspe, je l’ai redemandé à ma mère qui a 77 ans et j’ai eu confirmation de la part de mon frère musicien d’Adaron qui ont 2 cd de collectages avec livret sur les sauts et branles béarnais.
    peut a débattre si tu as d’autres sources.
    Passatz tots un bon vrespe.

  • Ah là là. Le débat n’a jamais été sur la prononciation qui est bien affriquée (le son "tch" en français), le débat était qu’en orthographe alibertine, ce son s’écrit "ch", et que le son "ch" du français lui s’écrit "sh".
    Donc Mochico est la bonne orthographe, Mutxiko(a) en basque (a final n’est que l’article).

  • Plan Vincent j’en prends bonne note.
    Sias de com cau a beth leu.

    Réponse de Gasconha.com :
    Mercés a tots, brave monde !
    Seguida d’aqueste hiu de grans de sau longàs ACÍ

Un gran de sau ?

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