Còr de Comenge

Castéra-Vignoles


 
en graphie alibertine :

(lo,eth) Casterar
Prononcer "(lou) Castérà".

castèth / château

casteran (prononcer "castéra") : châtelain casteret : petit château casterar (...)

(las) Vinhòlas
Prononcer entre "Bignòles" et "Bignòlos".

vinha / vigne

Prononcer "bigne". Le gascon distingue "vinha" (l’ensemble des pieds de (...)

"Ses habitants sont appelés les Castolois." Aïe aïe aïe !
En gascon, que prepausi "lous Castéra-Bignoulés/los Casterar-Vinholés"... Ne seré pas mei beròi, aquò ?


 

 

Lòcs (lieux-dits = toponymie, paysage...) de Castéra-Vignoles :


 

 

 

Grans de sau

  • "Gascogne toulousaine" a été choisi (par moi) comme "Grande subdivision géographique gasconne" pour Castéra-Vignoles.
    Pour l’instant, le choix de la "Grande subdivision géographique gasconne", chez Gasconha.com, se fait dans la liste fermée suivante, que je n’ai pas arbitrée sans mal :
     Pyrénées
     Landes-Adour-Chalosse
     Gascogne médiane
     Gascogne toulousaine
     Gascogne bordelaise
    J’hésite souvent pour classer des lòcs dans cette liste.

    Il y a un parallèlisme entre "Gascogne toulousaine" et "Gascogne bordelaise".
    Dans cette dernière, j’inclus grosso modo le département de la Gironde, avec des hésitations pour les communes très landaises (et peut-être peu bordelaises ?) du côté de Captieux.
    Et dès lors que la "Gascogne bordelaise" est aussi large, la "Gascogne toulousaine" doit l’être aussi. J’y mets généralement les lòcs de Lomagne, par exemple, mais peut-être pas ceux de Lomagne dite "gersoise".

    Tout ceci est à discuter.
    Il est difficile de modifier la liste des subdivisions, mais facile de passer une commune ou un lòc de l’une à l’autre.
    Au niveau commune, la grande subdivision géographique est complétée par le "pays historique", "Comminges" pour Castéra-Vignoles.

  • Tederic,je pense plus sage de ne pas inclure le Bazadaias dans la Gascogne bordelaise:lles deux zones ont toujours été différentes,historiquement et socialement,pour ne pas dire linguistiquement.Je pense qu’il y a toujours chez les Bazadais un sentiment particulier d’appartenance.

  • Que’t enteni, Gerard, mès...
    Où classer alors le Bazadais ?
    Dans "Landes-Adour-Chalosse" ?
    Dans "Gascogne médiane" ?
    Sinon, il faudrait supprimer le regroupement "Grande subdivision géographique gasconne" et ne regrouper que par "petit pays", et le Bazadais en est un.
    Il me semblait pourtant que le grand regroupement n’était pas superflu, surtout pour une approche géographique.
    De plus, actuellement, le Bazadais est en train de rentrer dans l’aire bordelaise : il suffit de voir le nombre de "bazadais" qui travaillent chaque jour en métropole bordelaise. Selon l’INSEE, l’aire urbaine de Bordeaux frôle Langon, et je prévois que le Langonnais va y tomber très vite si la tendance actuelle persiste (ce que je ne souhaite pas).

  • Tot a fèit d’acòrd : lo Vasadés n’es pas dens lo Bordalés, parli en coneishença de causa. (sui originari de la termièra).

  • Hey, vous exagérez tous un peu. En l’état des moyens de transport modernes et de la réalité économique, cela fait bien 150 ans que le Bazadais est pleinement dans l’orbite bordelaise. Le provincialisme, j’adore, mais il faut regarder la réalité en face : ne serait-ce que parce que Bazadais et Bordelais sont depuis la Révolution unis dans le département de la Gironde.

    La Réole ou Bazas sont des villes de la Gascogne bordelaise, une Gascogne bordelaise au sens large, qui se définit par un univers : la vigne, la lande, la maison bourgeoise de pierre.

    De la même manière, bien tout le Bas-Comminges ou la Lomagne font partie de la Gascogne toulousaine : la plaine de Garonne, les coteaux, la brique.

    Je suis assez pleinement en accord avec les étiquettes de Tederic qui me semblent bien coller à une réalité qui transcende les entités administratives anciennes : pour moi le Béarnais, il y a au Nord dès Captieux une Gascogne bordelaise, il y a à l’Ouest dès Saint-Gaudens une Gascogne toulousaine, il y a bien également une Gascogne centrale qui touche jusqu’à l’Agenais. Ce sont des réalités sentimentales, et pour faire aimer la Gascogne, il faut parler aux sensations.


Un gran de sau ?

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