"leou et zat balheran" Ecrit comme ça, par Jules Molère*, ça ne peut plus être compris que par un quarteron d’initiés. De son temps, les patoisants d’Albret auraient pu le lire, malgré la mauvaise coupure. En graphie alibertine, ce serait quelque chose comme "lèu e’vs ac balheram" (vite on (…)