Grésas, par une journée quelque peu triste de novembre. La beauté du site, c’est évidemment l’habitat complètement dispersé, l’absence de murs, de pavillons, bref, des stigmates des dernières décennies, au prix de maisons abandonnées.
Grésas, par une journée quelque peu triste de novembre. La beauté du site, c’est évidemment l’habitat complètement dispersé, l’absence de murs, de pavillons, bref, des stigmates des dernières décennies, au prix de maisons abandonnées.