Pays de Buch "]> Gentilés en -òt Landes de Gascogne Mar e còsta gascona / Ma é coste gascoune

Lège-Cap-Ferret / Lèja-Cap-Horet


 
en graphie alibertine :

Lo Cap Horet
Prononcer "Lou Cap Houret"

horat / trou

Prononcer "hourat".

Lèja
Prononcer "Lèje".

La graphie "Lètje" existe aussi.

Il semblerait que les habitants de Lège soit les "légeots", donc "lejòts" en graphie gasconne (prononcer le "t" final, et le "ts" au pluriel).
Mais on trouve comme "gentilé" pour toute la commune (nom des habitants) "ferretcapiens", ce qui est aussi partiel que "lejòt".
Un gentilé complet serait "légeot-ferretcapien". En gascon, "lejòt-horetcapòt" ?-) (Lège-Cap-Ferret / Lèja-Cap-Horet)
Le Cap Ferret


 

 

Lòcs (lieux-dits = toponymie, paysage...) de Lège-Cap-Ferret / Lèja-Cap-Horet :


 

 

 

Grans de sau

  • Que seré "Cap Herrèr" ! Origine étymologique. Sur les cartes anciennes, on trouve l’écriture Cap Herret. C’est l’équivalent gascon de Cap Ferret, mais herret n’est pas la bonne orthographe gasconne, qui est herré.
    Herré est un adjectif correspondant au français « ferreux » ou « ferrugineux », dont le substantif gascon est her, en français, « fer ».
    Le Cap Ferret serait donc le Cap du Fer
    www.calameo.com/books

  • Vous avez raison.
    On lit "Cap Herrer" sur une carte du bassin de 1634 par Christophe Tassin.
    Je vais changer la version du nom sur Gasconha.com.

  • Apparemment, ce n’est pas "herrer" ni "herret", mais "horet" !
    Voir la discussion.

  • Tederic, je ne trouve pas ci-dessus la discussion annoncée sur l’étymologie de Cap Ferret.
    Comme Pèire en 2010 je doute de l’étymologie rattachant ce nom à "horat" ou "horet" (le trou) bien que l’étroite péninsule crée comme un trou en effet dans le Bassin d’Arcachon. Herrèr me paraitrait plus normal comme évolution. Mais pourquoi "herrèr" ? Qu’est-ce que la péninsule aurait de ferreuse ou ferrugineuse ?
    Par ailleurs, une discussion avec quelqu’un de ma famille vient de m’amener à poser la question du passé de cette presqu’île : ostréicultreurs et pêcheurs des petits villages du Bassin mis à part, était-elle un parcours des troupeaux de moutons, comme je le pense (je ne vois pas pourquoi les "aulhèrs" se seraient magiquement arrêtés après Lège en s’interdisant de pousser plus loin, malgré la maigreur des pâturages (qui n’étaient d’ailleurs pas plus extraordinaires dans l’arrière pays de Buch ou du Médoc, vraisemblablement). Bref, pas un territoire vide en permanence ou interdit. Après tout, si la microtoponymie y montre des noms de lieux anciens, c’est bien parce qu’il y eut des gens pour les nommer, pas forcément des habitants permanents, certes.

    [Je viens de mettre à jour le lien ; il avait encore l’ancienne adresse, avec cependant un renvoi vers la nouvelle. Tederic lo webmèste]


Un gran de sau ?

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