Cazaril-Tambourès
La maison « Tuqueù » entre Cazaril et les « Tambourès »
Ruinée, elle fait partie de la petite histoire.
Pendant l’Occupation, les jeunes s’y retrouvaient régulièrement, à l’occasion de bals clandestins. On dansait dans un long « coustè », au nord de la bâtisse.
L’endroit était situé dans une clairière, surélevé, on pouvait voir venir les gendarmes d’assez loin, toutes les conditions requises étaient donc réunies pour de telles réunions.
Précisons que l’on y accédait par un très mauvais chemin creux qui ne ressemblait aucunement à l’actuel.