Sans compter les fautes d’orthographe quand le panneau est écrit en gascon. Et aussi l’incohérence graphique comme à Bayonne où, par bascophobie, on écrit Bayoune en phonétique, à côté de panneaux en graphie normée (où les deux, phonétique et normé, sont mêlés), pour que ça ne ressemble surtout (…)