A priori, un nom en -ar, occasionnellement en -at désigne un lieu où pousse le type de végétation mentionné, à l’état sauvage ou cultivé. Matòc (meule) s’apparente à mata (touffe) ; voir FEW vol. 6/1, entrée MATTA, p. 502-503. Le suffixe -òc rend ici l’idée d’amas, d’épaisseur, de vrac. Cela (…)