Le mieux est de demander aux autochtones patoisants, s’il en reste. Même chose avec Contis qui est accentué sur COUNtiss et pas CounTISS. Les indigènes le savent bien, ou le savaient. Quant au parler noir, il va parfois se loger dans des endroits bizarres. Par exemple Pey, dans le même secteur, (…)