Assoc. pour la sauvegarde d’Arcachon

- Tederic Merger

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"Architecture, points de vue, paysages, un trésor à redécouvrir."

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Grans de sau

  • Tout se jouant sur le front de mer, on peut déjà dire que c’est foutu.
    http://www.fxbodin.com/iboga/images/arc_front_de_mer.jpg
    C’est toute la côte atlantique gasconne et son charme néo-régionaliste qui est de cette manière défigurée par 2 ou 3 bâtiments-verrues.

    Réponse de Gasconha.com :
    Voir aussi le Panoramique du front de mer d’Arcachon de visuel.free.fr.

    Ces "bâtiments-verrues" sont le résultat du passage au tourisme de masse, dans les années 50 à 90, avec une perte (ou une ignorance) des repères régionaux et locaux, et le mépris du contexte qu’on trouve si souvent chez les bâtisseurs.

    Mais depuis quelques années, les résidences touristiques se donnent de nouveau une petite touche locale, avec des clins d’oeil, en Pays de Buch, au style balnéaire 1900.


  • Le secret des frères Pereire 2
    « Comment ont-ils pu attirer à Arcachon une impératrice, des rois, des reines, des princes, des ducs, des marquis, des financiers, de riches industriels, de grands artistes ? La réponse est qu’ils appliquaient ce qui est devenu une des règles de base du marketing : Ils « vendaient du rêve ». Ils avaient créé un environnement de rêve, louaient des villas, vendaient des terrains mais l’essentiel était le rêve qui les entourait. »

    La suite de l’article évoque entre autres la villa "Les Luz", une néo-basque.

    Nous aussi, si nous voulons sauver quelque chose de l’héritage gascon, il faut faire rêver (et pas seulement les princes et les riches) ! Et d’ailleurs, nous rêvons déjà...

Un gran de sau ?

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