Edicions Per Noste

- Tederic Merger

Que presenta tanben exercicis interactius de lenga...

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Grans de sau

  • Se voletz saber e quin escríver un gascon qui non esisteix pas enlòc, anatz léger eth d’aqueste siti : un occitan de Biarn tot çò qu’i a d’artificiau, hart de traduccions mot a mot deth francés, deth lengadocian o mèma deth catalan a còps...
    Mes era "interfacia" nava qu’ei pro polida.
    Per quant a telecargar çò perpausat (utís pedagogics o linguistics..) se non avetz pas eth materiau informatic agreat per IEO, podetz anaz véir en quauque aute lòc.
    Ua escadença des granes qu’es edicions Per Noste esistéixen, aquò dit, e dab un siti internet !

  • A visiter le nouveau site décoré d’une belle croix "occitane" sur des vues de Bordeaux et Orthez, on comprend encore mieux la colonisation toulousaine !
    Cette satanée croix languedocienne n’a aucun droit de flotter en Gascogne !
    Imaginez que l’on fasse flotter le drapeau béarnais aux vaches clarinées d’azur sur les frontons du Capitole !!!
    On en a assez de cette croutz !!!

  • Honnêtement, je ne crois pas que l’utilisation par les associations occitan(ist)es de la croix que vous dites languedocienne soit le résultat d’une quelconque "colonisation toulousaine".
    Quant à en avoir assez, je confirme la hartère.
    Quant à la défendre, elle n’en a nul besoin car l’on ne peut que constater avec dépit qu’elle est le SEUL et UNIQUE symbole identitaire issu des pays de langue d’oc méridionales de la France qui ait réussi ces dernières décennies jusqu’à s’imposer sur le drapeau d’un parçan certes gascon mais plus français depuis des siècles et qui ne l’avait jamais connu jusque dans les années 1980...
    D’un côté la tête de Maure corse, de l’autre une réussite plus flamboyante encore, celle de l’ikurinea.

    Les vaches béarnaises parviennent à représenter encore un tout petit quelque chose identitaire béarnais ici et là, ainsi qu’à un niveau plus modeste encore les otelles commingeoises.
    Quand aux tigres et lions rampants ou autres de Bigorre ou d’ailleurs, on n’est pas surpris de les croiser sur quelques panneaux ou papiers officiels, mais qui est capable de savoir ce qu’ils représentent ou leurs couleurs ?
    Qu’en est-il en Gironde ?
    Bordeaux a-t-elle un symbole à présenter qui puisse concurrencer la croix que d’aucuns prétendent toulousaine ou occitane ?

    Et cette dame de B. présentée sur les pages de ce site, que et qui sert-elle ?

    Réponse de Gasconha.com :
    A Bordeaux et dans une grande part de la Gironde, le seul signe identitaire historique semble être le léopard de Guyenne. Mais sa présence semble décliner.
    En présence spontanée, populaire, sur les voitures, sur les bérets..., et parfois même en drapeau, l’ikurriña basque bat le léopard de Guyenne.
    La croix occitane n’a pas vraiment mordu.

    Le drapèu de la Daune doit servir à combler ce vide identitaire, et ce dans toute la Gascogne.
    La croix occitane représente, elle, l’ensemble des pays d’oc, dont fait partie la Gascogne, mais ne peut pas représenter la Gascogne en particulier.
    L’escut de las garbas (l’écartelé gascon) reste le seul symbole gascon connu et arboré ici et là, mais Gasconha.com promeut résolument le drapèu de la Daune pour le remplacer et symboliser une Gascogne forte.
    [Tederic]



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