Dans la revue Vasconia du Conservatoire du Patrimoine de Gascogne, numéro 4 de septembre 2003, Miquèu Pujol rendait hommage à André Pic, enfant de Gondrin, que Camélat aurait bien vu comme son successeur à l’Escole Gastou Fébus ; mais André Pic est mort bien trop tôt / trop de d’ore !
Gondrin
Je vous propose cet extrait de l’article de Miquèu Pujol :
A la fin de l’article, Miquèu Pujol estime que cette amne gascoune qu’André Pic dépeint comme taciturne et renfermée (lou gascoû qu’ey carat e en deguens) contrairement au cliché habituel du gascon, c’est d’abord celle d’André Pic lui-même !
Benlèu quiò...
Il faut dire que Pic écrivait en 1934 ; on ne parlerait plus de nos jours “des grands traits de la race aquitaine” (et Pic ne parlait pas de races bovines !). On trouverait que c’est de l’essentialisme voire du racisme, et selon moi, on n’aurait pas complètement tort !