[Suite du fil précédent, détachée pour une bonne lisibilité.
Eth webmèste]
La question n’est pas d’intervenir ou d’influer mais de porter un témoignage, d’observation voire un diagnostic sur la situation linguistique d’un pays de Gascogne à un moment donné.
Ensuite il est vrai et certain qu’il FAUT s’entendre sur les définitions et les poser clairement dès le départ comme dans tout exercice scientifique ou dans toute science dite humaine. Poser une hypothèse de départ et conclure objectivement.
La première partie, les occitanistes de France et de Navarre en sont devenus les champions, quant à l’objectivité, je laisse le soin aux autre de penser ce que bon leur semble mais personnellement mon idée est faite !
Quand on sait que les chiffres de la personne citée proviennent de "recherches" sur des locuteurs nés AVANT 1940, d’extraction ET d’activité rurale qui n’ont jamais quitté l’endroit où ils sont nés, on parvient forcément au chiffre de moins d’un pour cent, ce qui, je trouve, est fort optimiste, donnée la mortalité des populations concernées et une hypothèse de travail hyper restreinte se situant entre deux rivières (Adour et Arros) au nord de l’agglomération tarbaise, bassin de vie principal exclu, d’un pays (la Bigorre) qui est lui aussi assez peu étendu si on le compare, par exemple au Comminges historique ...
Quand on voit arriver une personne parlant "occitan" et qui pose des questions assez orientées on comprend peut-être aussi quelles seront les réactions de ces fameux locuteurs dit naturels peuplant les fantasmes des occitanistes les plus modérés mais qu’ils ont toujours autant de mal à
1/ trouver
2/ faire parler
3/ ...