Toponymie de la commune de Verdelais résumé d’après un document mis au point en 2015

- Gaby

Cet article reprend de manière synthétique un document, à l’état de brouillon, sur lequel j’avais travaillé en 2015 puis un peu en 2018, fruit de nombreuses collectes de données depuis mes 12-13 ans. Je suis productif mais pas à ce point ! :D

Les dates indiquent la période sur laquelle le toponyme est attesté.

Les sources sont nombreuses :
 documents anciens (testament de 1513, arrêt de 1553, avis de 1647, rôles de tailles 1712 et 1744)
 registres paroissiaux (1655-1703 et 1722-1789)
 arpentement de la partie de la paroisse dépendant du comté de Benauges (1753)
 cartes de Belleyme et de Cassini (milieu XVIIIe)
 ventes des biens nationaux (1795)
 cadastre napoléonien (1820 et 1847)
 recensement de la population (1820)
 bail à ferme (1821) et acte de partage (1828), originaux communiqués par Mme Boussant
 listes électorales (1848 et 1909)
 documents portant sur les cours d’eaux et les moulins à eau (arch. dép., 1861-1885)
 registres des délibérations du conseil municipal (1861-1965)
 carte d’état major (milieu XIXe)
 recensements de la population (1891, 1896, 1901, 1906, 1911, 1921 et 1926)
 annuaires anciens (1939 et 1962)
 témoignages oraux de Verdelaisiens nés entre 1920 et 1950 (MM. Bord, Chevillard et feu Lavigne)
 annuaire (2012-2013)
 cadastre actuel
 bases de données géographiques (Google Maps, SIEAG, ruesdemaville.com)
 sites internet des châteaux viticoles
 cartes postales anciennes
 divers documents, ouvrages et sites web

les Allées (1909-...) : allées plantées de tilleuls, aménagées au XIXe s.
aux Anduries (1847) : patronyme.
Asile Marie (1847-...) : d’après une propriété d’une congrégation de femmes. Les Filles de la Charité de saint Vincent de Paul y ont acheté une maison en 1947 mais je n’ai pas d’éléments plus anciens pour le moment.
Aubiac (IVe s.-...) : nom gallo-romain Albius + -acum. Une villa gallo-romaine a été découverte en 1933. Ancien siège de la paroisse (avec une ancienne église aujourd’hui restaurée) puis de la commune, qui s’est appelée Aubiac-et-Verdelais dans les années 1870-1890 puis Verdelais.
Bachon (1775-...) : patronyme, attesté à Verdelais.
au Barieu (1753-...) : patronyme.
le Baron (XVIIIe-1835) : patronyme ou surnom.
à la Barterie (1795) : dérivé de barta « fourré » ? patronyme Bartherie ? ou famille de Labarterie ?
Baure, anciennement Vaurés, Baurés (1735-...) : patronyme Baurès, attesté à Verdelais.
Bellevue (fin XXe-...) : nom bucolique d’un lotissement des années 1970.
moulin du Bernet (1553) : aulnaie, ou éventuellement patronyme Dubernet.
Bernille (1753-...) : diminutif de Bernard.
Bertric (1740-...) : diminutif de Bertrand.
Bois de l’Encre (1820-...) : sans doute nom de la famille noble de Lancre qui possédait le château Loubens à Ste-Croix-du-Mont. Le ruisseau ou rouille du Bois de l’Encre s’est aussi nommé « rouille de Carredon », « rouille de l’Encre » ou fautivement « rouille de Peynon ».
Bois de Tardes (cité par O’Reilly) : nom de la famille noble de Tardes (cf. à St-Macaire).
la Bouchère (1774-...) : féminin du patronyme Boucher, ou peut-être lieu avec des buissons (en tout cas, pas avec du buis).
Bouet (1820) : patronyme, attesté à Verdelais.
le Bourg
Bourillon (1784-...) : patronyme, attesté à Verdelais y compris comme surnom (Jean Ferran dit Bourrilhon en 1770).
Boutchin (1779) : patronyme Bouchin. Ce doit être le lieu-dit Bouchin, toujours existant, à St-Maixant.
la Brullerie (1828) : distillerie artisanale.
au Buscarrat (1753) : lieu boisé, aux confins de Verdelais.
Cadichon (1820) : surnom.
les Caillaux (1753-1820) : lieu caillouteux ou patronyme.
le Calvaire : calvaire inauguré en 1863.
les Camards / les Camarts (XVIIIe-...) : patronyme Camard.
Cap Rond (1820) : sobriquet ou bout de terrain arrondi.
Capredon / Cabredon (1712-...) : sobriquet ou patronyme.
à Cardon (1828) : parcelle avec des chardons, ou patronyme.
la Carreyre (1891-1911) : grand chemin ; c’est actuellement la rue du Commerce (RD 120).
rue des Carrières (années 2010-...) : voie de lotissement à proximité d’une ancienne carrière à ciel ouvert.
fossé de Carrincles (1820) : signifie « ornières » mais... en Médoc et en Pays de Buch. A moins que ce soit à rapprocher de charrincla « girolle » ? Ou du verbe carrinclar « grincer » ? Malheureusement, impossible de trouver un locuteur de gascon dans les environs...
Castagnet (1776) : patronyme.
à Chante Loiseau (1847) : toponyme bucolique typique.
château Chantegrit (vers 1850-...) : lien avec la famille noble de Chantegrit (éteinte) ??
Charr(e)au (1731-...) : patronyme. Absent des registres de Verdelais, ce nom gavache a dû arriver vers le XVe s.
à la Clède (1753) : barrière.
rue du Commerce (1949-...) : rue où se trouvaient de nombreux commerces. Quand j’étais enfant, il y avait encore dans cette rue une pharmacie, un café et une boulangerie ; aujourd’hui plus rien.
à la Cougniasse (1847) : parcelle en coin ?
Coulau (1753-1779) : patronyme, attesté à Verdelais.
les Courrèges (1753) : parcelles allongées et étroites.
au Coustalet (1753) : coteau.
la Croix de Mission (1891-1926) : croix érigée en 1844, toujours présente.
le Cros de Vertheuil (XVIIIe-...) : creux, sans pouvoir préciser de quel creux il s’agit.
Cussol (XVIIIe-...) : désigne une hauteur ; la colline est nommée « mont Cussol ». Voir l’article sur la racine kuk-.
la Demi-Lune (fin XIXe ?/fin XXe-...) : extrémité des Allées, en forme approximative de demi-cercle.
Destingues (1745-1820) : patronyme très rare.
château Dufilhot (XIXe ?/XXe-...) : patronyme de la famille qui a acquis le château en 1832.
l’Enrageat (1828) : nom de cépage, ou peut-être surnom.
l’Estage de la Meit (1288) : habitation + ?
l’Eveillé (1778) : patronyme Léveillé.
aux Eyriaux (1753) : terrains à usage collectif près des habitations.
la Ferme des Coteaux (fin XXe/XXIe) : nom de l’ESAT (ex-CAT) créé en 1977.
Forgeron (1820) : patronyme... ou peut-être métier d’un habitant noté en français par le cartographe.
le Gallet, anciennement Galet (1820-1948) : patronyme, attesté à Verdelais.
le Galouchey, anciennement village de la Galocheyre (1753-...) : fabricant de galoches. A donné son nom au ruisseau qui traverse la commune. Celui-ci a aussi porté les noms de : « ruisseau de Villars », « ruisseau d’Aubiac », « ruisseau de Verdelais », « ruisseau de la Galoucheyre », « ruisseau de Moliate », « ruisseau de Caussade », « ruisseau de la Garonnelle », « ruisseau de Génisson » ! Caussade et Génisson sont des lieux-dits en amont du bassin versant.
chemin de Garbay (XXe/XXIe-...) : patronyme. J’ai connu une Garbaye à l’école de Verdelais.
la Garonnelle (1553-...) : diminutif de « Garonne », désigne le village du port ainsi que le ruisseau appelé aussi Galouchey.
Garraut (1820) : patronyme.
Gilibert (1820) : patronyme, attesté à Verdelais. Deux lieux portent ce nom sur le cadastre de 1820.
Gorret, anciennement (le) Gourret (1742-...) : prob. patronyme.
la Gourgue (tém. oral) : canal de moulin (correspond au moulin de la Mouliatte) ou trou d’eau.
le Grand Bois, anciennement Bos Grand (1753-...) : grand bois de chênes exploité en taillis, qui aurait pu appartenir à une congrégation.
le Grand Cazau (cité par O’Reilly) : grand domaine agricole.
Grand Jean (1730-...) : nom de baptême.
au Grand Nouguey (1753) : grand noyer.
les Grandes Terres (1753-...) : grands espaces cultivés.
Graoux / Grau (1738-...) : sans doute grava prononcé comme grau’ (St-Germain-de-Grave était parfois écrit -de-Graoux autrefois), ou alors patronyme (attesté à Verdelais).
la Gravette (1847-...) : lieu avec des graves.
la Grotte (1753-1820) : apparemment situé dans un endroit sans la moindre grotte possible. Il existe bien des grottes ailleurs à Verdelais.
les Guyonnets / les Guionnets (1667-...) : dérivé du patronyme Guion/Guyon.
à l’Isle Moron (1513) : sans doute une île sur la Garonne, non recalibrée à l’époque. « Moron » est peut-être un nom de personne ; uune racine hydronymique celtique *mor- semble douteuse pour une simple île.
Jeanneau (1777-...) : patronyme, abondamment attesté à Verdelais. Curieusement précédé par le toponyme Tienot/Tianot (XVIIIe), et Etienot (1820).
Joffre (1767-...) : patronyme, attesté dans l’Entre-deux-Mers.
Labanave (tém. oral XXe-...) : peut-être la banau « la parcelle banale » ? Très douteux. Aujourd’hui : « voie communale de Banave ».
Lacroix (1820-...) : patronyme, attesté à Verdelais.
Lambrot (1753) : patronyme, ou vigne sauvage.
Lamounière (1778-1820) : patronyme, ou féminin de Mounier.
Lapeyre (1820) : patronyme.
Lapineyre (1753-1820) : lieu avec des lapins.
Larène (1780) : patronyme. Ne pas écarter une mauvaise lecture de « Lancre » (cf. Bois de l’Encre).
maine de Laurencier (1553) : patronyme.
Lemoine (1820) : patronyme, nom d’un habitant (une personne est décédée « chez M. Lemoine » aux Pins, où se trouve le toponyme).
Lescure (1787-...) : patronyme, peut-être celui de la famille noble de Lescure.
Liloy (1732-...) : la tradition populaire dit que cela désigne l’îlot du moulin. Je pencherais plutôt pour une gasconnisation (car on trouve des graphies -oïs, -oÿe, -oÿ) de « Lillois » (originaire de Lille ou patronyme).
la Limante (XVIIIe) : féminin du patronyme Laliman(t), attesté à Ste-Croix-du-Mont dont le toponyme est limitrophe.
le Lion d’Or (XVIIIe-...) : serait le nom d’une ancienne auberge dont il subsiste les ruines.
au Liron (1753-1847) : couleuvre (sobriquet ?).
le Luc (1160-...) : bois.
Maison (XVIIIe) : patronyme... ou maison isolée ?
village du Maréchal (1820) : maréchal-ferrant ou sobriquet.
Marie Val (XXe-...) : nom d’une colonie de vacances située à « Asile Marie », même étymologie.
chemin de la Marrane (1872) : féminin du patronyme Mar(r)an ? surnom cf. marrana « déveine, maladie du bétail » ?
Matouas (1745-1779) : patronyme.
Mazeran (1778-1787) : patronyme, attesté à Verdelais.
à Méric (1753) : patronyme ou prénom.
Meyroux (1745-...) : patronyme, attesté à Verdelais.
Minvielle (1820) : patronyme, attesté à Verdelais.
le Mont Célestin (1847-...) : propriété de l’ordre des Célestins, implanté à Verdelais aux XVIIe et XVIIIe s.
Montigny (1906-2e moitié XXe) : patronyme, attesté en Gironde.
Mouchac (XVIIIe-...) : nom de la famille noble de Mouchac.
la Mouliasse (1753) : moulin, peut-être le même que celui des Quatre Sous.
la Mouliasse (1909-1911) : moulin. On ne connaît là aucun moulin... même sur les cadastres du XIXe s. !!! A moins qu’il ne s’agisse du second moulin de Cussol (disparu) ?
la Mouliatte (1553-...) : moulin. C’est un moulin à eau, dont il reste encore les murs et le toit.
Moulinier (1820) : nom de l’acheteur du domaine (= celui du Mont Célestin) sous la Révolution (M. Moulinié).
Moustarde (1847) : patronyme ou surnom.
Narcé (1746-...) : prob. patronyme.
la Nauze (1786-...) : zone marécageuse.
Nazareth (1862-1978) : ancien orphelinat agricole fondé en 1862 et occupé par les Soeurs de la Doctrine Chrétienne jusqu’en 1978. Il est devenu ensuite le CAT ; l’inscription « Nazareth » est toujours visible.
à la Nourrice (1753-1847) : pépinière ou apparenté ? terme d’élevage ? En tout cas, ce n’était pas un lieu habité en 1847.
l’Orée des Vignes (2007-...) : lotissement moderne.
le Padouin (1753-...) : pacage communal, à la limite de la commune. Déjà disparu et planté en vignes en 1847, aujourd’hui en partie couvert de fourrés. A donné son nom à un ruisseau, appelé aussi « Gravère » (selon Hochgesand), « ruisseau de Gabarnac » ou « ruisseau de Faugas ».
Pantoc (1820-...) : surnom d’asthmatique ? versant ???
le Pas d’Augey (1847-...) : passage sur la digue longeant la Garonne. ; Augey est un patronyme de la région.
le Pas de la Mule (XXe-...) : rappelle la légende de la mule heurtant une pierre cachant une statue de la Vierge. Mais il est évoqué un « passage du moulin » (pas de la mòla), puisqu’un moulin était situé à proximité.
parc/jardin des Pères (XXe ?-...) : enclos (bois, prairies, jardins) du monastère.
à la Pessa Longue (1513) : parcelle allongée.
le Pesseng (1795) : semble être à rapprocher de peixent « pâturage ».
le Pin, anciennement les Pins (1732-...) : lieu avec des pins (il y a toujours un bosquet de pins !). A partir du début XXe, employé uniquement sous la forme « château Pomirol le Pin ».
grand chemin de Pis (1753) : pins.
aux Plantes (1847-...) : vignes nouvellement plantées.
Plantote (fin XVIIIe) : petite plantation de vigne.
Pomirol (1820-...) : patronyme. Même remarque que pour « le Pin ».
les Ponteriques (1753) : petits ponts.
au Porge (1513) : vraisemblablement cimetière, celui (disparu) de l’église d’Aubiac.
Pouchane (1744-...) : surnom (Jean Lataste dit Pouchane, début XVIIIe), venant peut-être du patronyme Pouchan.
le Pré d’Aubrin (1795) : patronyme attesté à St-Macaire ; un secteur de Ste-Croix proche de Verdelais porte aussi le nom de Daubrin.
le Pré de Mouran (1795) : patronyme.
moulin du Prieur (1553-début XXe) : propriété des Jésuites de St-Macaire au XVIIe. C’est le moulin de Liloy.
les Proues (1847-...) : patronyme Prou.
Puet (1775-...) : patronyme, attesté à Verdelais.
Puible (cité par O’Reilly) : peut-être une déformation de pible « peuplier » mais par ici on dit briule. Nous n’avons pas le document d’origine.
Pujos (1847-...) : peut-être un patronyme, car bien qu’on soit au pied d’une pente abrupte, le toponyme semble récent et ne comporte jamais d’article.
moulin de Quatre Sous (cité par le père de Rouvray au XIXe) : surnom d’un habitant pauvre ? avare ?, plutôt qu’un surnom de terre pauvre, car on est en fond de vallée. Ancien moulin à eau disparu, aux Guyonnets, pouvant être celui nommé par ailleurs « la Mouliasse mayne de Capredon ».
Quinsac (XVIIIe-...) : patronyme du Bordelais.
la Rame (XVIIIe-...) : lieu boisé.
Rieux (cité par O’Reilly) : patronyme, plutôt qu’un ruisseau.
à Ripots, anciennement Ripottes (1820-...) : patronyme Ripot(t)e, attesté à Verdelais et environs.
rouille de Rocassiet/Rocassier/Roscassia (1753-1847) : patronyme provençal Rocassier ? En tout cas, pas de rochers dans ce secteur. Rappelle également le patronyme benaugeant Fourcassies. le nom « Rocassier/Rocassiet » date de 1753, celui de « Roscassia » de 1847. Appelée aussi « ruisseau/rouille de Peynon », d’après le village de Peynon situé à Semens, sur le versant opposé à Verdelais.
Rochecave (1739-...) : il existe bien une ancienne carrière et une grotte dans le bois de Rochecave, mais on attendrait « Roquecave » ; c’est plutôt le patronyme Rochecave (à rechercher en Gironde).
le Roudey (1753-...) : charron.
Rouet (1820) : patronyme.
Rousseau (1891-...) : patronyme, attesté à Verdelais dès 1753.
le Roy (1737-...) : patronyme Roy ou Leroy ? Mais il est graphié le Roÿ en 1777. Cela dit, l’occitan ròi(a) n’est pas connu en gascon.
Sarre la Coux (1820-...) : « serre la queue » (surnom).
chemin de Sarron, anciennement carruet de Sarron (1820-...) : patronyme, attesté à Cadillac. Un carruet est une ruelle, un petit chemin, dans notre pays garonnais (entre Cadillac et La Réole).
la Saubotte (fin XVIIIe) : sans doute était-ce une petite forêt... ou en lien avec l’abbaye de la Sauve. Synonyme de Villars.
Saurat (1820-1926) : patronyme.
Sauton (XVIIIe-...) : patronyme.
Sigaray (1848-1901) : patronyme basque, variante de Suhigaray.
Tartes (1753) : patronyme rare, attesté en Gironde.
à la Terre Coupade (1795) : terre brisée, donc labourée ? défrichée ? ravinée ?
à la Terre Nègre (1795) : cf. ci-dessous, mais rien ne dit que ce soit le même lieu.
Terre Noir (1847-...) : terre noire (terre brûlée ? enrichie d’humus ?
aux Terres Fortes (1847) : terrains argileux.
domaines Tich et Grava, (XXe-...) : « Tich » semble correspondre au toponyme « le Tiche » à Ste-Croix-du-Mont, probable diminutif (Martin > Martixe ?) ou surnom à rapprocher de chic, chicòi... « Grava » désigne un lieu avec des graves, mais j’ignore encore où cela se trouve. Il s’agit de producteurs de sainte-croix bien que les chais soient à Verdelais.
Vacons (cité par O’Reilly) : certainement mauvaise lecture de « Vacans », soit des terres en friche.
Val Fleuri (1909) : nom d’une maison bourgeoise ayant appartenu au maire d’Arcachon début XXe.
Verdelais → voir BBF et discussions diverses sur gasconha.com.
Verdery (cité par O’Reilly) : patronyme. C’est peut-être le toponyme existant à St-Pierre-d’Aurillac.
Vertheuil (1820-...) : propriétés de la famille noble de Verteuil. A cheval sur la commune de Ste-Croix-du-Mont, où se trouve le château de Vertheuil.
Vil(l)ars (1820-...) : prob. patronyme, attesté à Verdelais. En 1753, la femme Villars était dite la hauresse des Guyonnets.
moulin de Villars (1475-XIXe) : patronyme, à moins que cela ne désigne un hameau. Les moulins de Villars (à Liloy) auraient dépendu de l’abbaye de la Sauve, mais je n’ai pas encore consulté l’acte de reconnaissance (aux archives départementales).

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