Chanson de moisson, recueillie auprès de Catherine Bidouze.
On continue évidemment : 9 8 7...
"Il y a cette nuit neuf ans
Que nous ne nous étions vus
Sitôt que nous nous étions vus
Nous nous étions endormis
Approchez-vous donc,
Mes amourettes,
Approchez-vous donc,
La nuit va vous échapper."
[]