Les champs de fèves sont cités avec ferveur par l’écrivain Chérau vers 1900 dans la Despélouquéro (en "Gascogne d’Armagnac", entre Sos et Montréal, sur la Ténarèze) : La Ténarèze p.12 Je n’en suis pas [des landes], mais le souvenir des vastes étendues de bruyère et de sable noir, des (…)