J’ai également assez peu de peine quant à la disparition du pignada artificiel de Landiras I et Landiras II, je me félicite de la survie du bâti humain (dont les églises anciennes comme Rétis), et j’ose espérer que ces feux viendront mettre un terme à l’urbanisation de la lande girondine, conçue (…)


