[tiré d’un texte de Charles de Bordeu, "La Clairière blanche", que j’ai trouvé dans un vieux recueil intitulé "Plaisir du Béarn", Nouvelle Société d’Edition, 1931 ; il s’agit d’une évocation de la vie d’autrefois, quand la fileuse et le tisserand fabriquaient encore les vêtements à partir du lin (…)