On peut toutefois affiner l’analyse. D’abord dire qu’Arrien en Béarn est Arrien dès 1385. Qu’il se prononce [a’rrien] avec n dental final, ce qui est rare en Béarn où la dénasalisation est souvent généralisée, et ce qui n’est pas conforme à la série béarno-souletine qui mouille la finale. (…)