Les Cahuzac languedociens postulent également la chute d’une consonne d’où le hiatus. Il me semble avoir lu que -n- intervocalique en languedocien pouvait tomber en position pré-tonique, je ne m’avance pas néanmoins, à vérifier.
Les Cahuzac languedociens postulent également la chute d’une consonne d’où le hiatus. Il me semble avoir lu que -n- intervocalique en languedocien pouvait tomber en position pré-tonique, je ne m’avance pas néanmoins, à vérifier.