Je n’ai pas pu lire la totalité de l’article, n’étant pas abonné au "Monde". A la fin de ce qui m’est lisible, il y a ceci : « C’est compter sans les peurs qui viennent s’ajouter au déclassement d’une ville ouvrière de 3 100 habitants. Car, derrière les belles façades, on cache sa misère comme (…)