C’était ironique, du second degré. Gérard, tu prends trop facilement la mouche dès qu’on évoque le fait basque. Le simple mot basque te fait l’effet de la muleta rouge qu’on agite sous les naseaux du toro. Signé un amateur de Château Pique-Caillou, de guit, de pastis, de tourtière, de (…)