Gascogne toulousaine Languedoc voisin Anneau gascon

Toulouse


 

 

Lòcs (lieux-dits = toponymie, paysage...) de Toulouse :

  • 1er juin 2020

    (Toulouse)

    Les Tibaous
    Un jour peut-être... Aux franges du quartier Saint Simon. Cadastre napoléonien (Section X de (…)

  • 31 mai 2020

    (Toulouse)

    Réguelongue
    Réguelongue est un quartier très périphérique de Toulouse, au sud-ouest rive gauche au delà du (…)

    (l’) Arrega longa
    Prononcer "L’arrégo loungo", "L’arrégue loungue"...

  • 31 mai 2020

    (Toulouse)

    Le Tucau
    Au sud du quartier (ou village) de Saint Simon ou Règuelongue, au sud-ouest de Toulouse, partie (…)

    (lo,eth) Tucòu, Tucòl
    Prononcer "(lou) Tucòw". Le sens du suffixe "òu" n’est pas évident. (…)

  • 26 mai 2020

    (Toulouse)

    Le Caousou
    Le Caousou est un établissement scolaire jésuite à Toulouse : www.caousou.com Wikipédia C'est (…)

  • 21 février 2020

    (Toulouse)

    Mimosa fleuri avenue de Casselardit
    Nous aimons le mimosa en fleur (qu'èra lo setze de heurèr 2020, printemps doriu) mais c'est (…)

    Caçalardit


 

 

 

Vos commentaires

  • Le 8 janvier 2012 à 19:03, par Tederic M.

    Ça ressemble beaucoup à la vue que j’avais de Bordeaux quand j’habitais à Nansouty.

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  • Le 9 janvier 2012 à 09:25, par Vincent.P

    C’est beau une ville depuis les toits. Et Bordeaux partage plus qu’on veut le dire avec Toulouse. En l’espèce, la vue est prise du sommet du parking des Carmes.

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  • Le 11 janvier 2012 à 14:03, par Vincent.P

    Quelle relation la Gascogne projetée doit-elle entretenir avec cette ville qui lui échappe quelque peu ?
    En effet, Toulouse est une interface, la porte d’entrée des pays gascons à la fois sur les contreforts du Massif Central et la Méditerranée.

    Mais Toulouse est aussi largement ancrée sur sa rive gauche, pleinement gasconne dans les temps anciens, je dirais même que l’extension de la ville se fera surtout rive gauche, plus propice d’un point de vue géographique, là où rive droite, la ville bloque vite sur les coteaux.
    Et puis Toulouse, c’est la préfecture de la Haute-Garonne, département majoritairement gascon.
    Et toujours est-il qu’il serait ridicule de nier tout ce que la Gascogne de l’Est doit à cette ville, Gascogne de l’Est qui a participé à son peuplement.
    Ajoutons que linguistiquement, les parlers toulousains apparaissent là aussi pour véritablement intermédiaires entre Gascogne et Languedoc (allez voir l’ALF le point Donneville).

    Cependant, l’avenir de la Gascogne à mon sens, sans se désengager totalement des aires urbaines métropolitaines, passe par une coupure au moins institutionnelle avec Toulouse (et a fortiori Bordeaux).
    On pourrait comme nous l’avons écrit par ailleurs concevoir une "ville-libre" toulousaine constituée de la ville et son agglomération, ce faisant rendant toute leur marge de manoeuvre à des petites villes de Gascogne toulousaine (Rieumes, Lèguevin, ...).

    Répondre à ce message


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