Gascogne toulousaine Languedoc voisin Anneau gascon

Toulouse


 

 

Lòcs (lieux-dits = toponymie, paysage...) de Toulouse :

  • 12 avril 2017

    (Toulouse)

    Rue Jacques Darré
    «Jacques Darré Regent de l'escòla de Sant Çubran 1910» Voici un nom, Darrèr, qui s'inscrit dans (…)

    Darrèr, Darrèir
    Prononcer "Darrè, Darrèÿ", le second étant nord-gascon.

  • 10 avril 2017

    (Toulouse)

    L’Hôtel Gascogne
    A Toulouse Saint-Cyprien (San Subra / Sant Çubran), donc dans le quartier le plus gascon de (…)

  • 20 mars 2016

    (Toulouse)

    Place Olivier Plaça deu Chairedon / Plaço dou Tchaÿredoun
    Cette place de Saint-Cyp' (comme disent les Toulousains de nos jours) tire son nom actuel d'un (…)

    Lo Chairedon
    Prononcer "Lou Tchaÿredoun".

  • 20 mars 2016

    (Toulouse)

    Place de l’Estrapade Plaça de l'Estrapada / Plaço de l'Estrapado
    Nous sommes dans la Toulouse proprement gasconne, rive gauche de la Garonne, là où déjà les (…)

  • 2 décembre 2012

    (Toulouse)

    La Grave La Grava / La Grawo ?

    Lagrava + (la,era) Grava
    Prononcer "La Grawe", "La Grabe", "La Grawo"...


 

 

 

Vos commentaires

  • Le 8 janvier 2012 à 19:03, par Tederic M.

    Ça ressemble beaucoup à la vue que j’avais de Bordeaux quand j’habitais à Nansouty.

    Répondre à ce message

  • Le 9 janvier 2012 à 09:25, par Vincent.P

    C’est beau une ville depuis les toits. Et Bordeaux partage plus qu’on veut le dire avec Toulouse. En l’espèce, la vue est prise du sommet du parking des Carmes.

    Répondre à ce message

  • Le 11 janvier 2012 à 14:03, par Vincent.P

    Quelle relation la Gascogne projetée doit-elle entretenir avec cette ville qui lui échappe quelque peu ?
    En effet, Toulouse est une interface, la porte d’entrée des pays gascons à la fois sur les contreforts du Massif Central et la Méditerranée.

    Mais Toulouse est aussi largement ancrée sur sa rive gauche, pleinement gasconne dans les temps anciens, je dirais même que l’extension de la ville se fera surtout rive gauche, plus propice d’un point de vue géographique, là où rive droite, la ville bloque vite sur les coteaux.
    Et puis Toulouse, c’est la préfecture de la Haute-Garonne, département majoritairement gascon.
    Et toujours est-il qu’il serait ridicule de nier tout ce que la Gascogne de l’Est doit à cette ville, Gascogne de l’Est qui a participé à son peuplement.
    Ajoutons que linguistiquement, les parlers toulousains apparaissent là aussi pour véritablement intermédiaires entre Gascogne et Languedoc (allez voir l’ALF le point Donneville).

    Cependant, l’avenir de la Gascogne à mon sens, sans se désengager totalement des aires urbaines métropolitaines, passe par une coupure au moins institutionnelle avec Toulouse (et a fortiori Bordeaux).
    On pourrait comme nous l’avons écrit par ailleurs concevoir une "ville-libre" toulousaine constituée de la ville et son agglomération, ce faisant rendant toute leur marge de manoeuvre à des petites villes de Gascogne toulousaine (Rieumes, Lèguevin, ...).

    Répondre à ce message


Un gran de sau ?

(identification facultative)
[Se connecter]
Ajoutez votre commentaire ici

Ce champ accepte les raccourcis SPIP {{gras}} {italique} -*liste [texte->url] <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Ajouter un document