Gascogne toulousaine Languedoc voisin Anneau gascon

Toulouse


 

 

Lòcs (lieux-dits = toponymie, paysage...) de Toulouse :

  • 10 juillet 2011

    (Toulouse)

    La Maison du Commandeur L'Ostal del Comandador / L'Ostau deu Comandaire / L'Ostaou dou Coumandaÿre
    Maison dans la Grand'Rue Saint-Michel ayant appartenu à Marius Cazeneuve. Elle est intéressante (…)

  • 27 mars 2011

    (Toulouse)

    Lardenne Lardena / Lardéno

    Lardena + (l’)Ardena
    Prononcer "Lardéno"

  • 13 février 2011

    (Toulouse)

    Rue Poudepé Carrièra Podapè (l) / Carrèra Podapè (g)
    Rue de la rive droite (première attestation en 1316), dans ce qui était le quartier du Férétra. (…)

    Podapè
    Prononcer "Poudopè".

  • 25 janvier 2011

    (Toulouse)

    Bérénice
    Toulouse a évidemment participé à la mode vasconne : tous les quartiers bâtis jusque dans les (…)

  • 22 décembre 2010

    (Toulouse)

    Rue Riguepels Carrièra d'Arriga-Pels (l) / Carrèra d'Arriga-Peus (g)
    Il existe une rue du même nom à Mézin en Albret, référencée sur le site. Attestée anciennement (…)

    Arriga-Peus
    Prononcer "Arrigo-Péws".

    Arrigapeu
    Prononcer "Arrigapéw".


 

 

 

Vos commentaires

  • Le 8 janvier 2012 à 19:03, par Tederic M.

    Ça ressemble beaucoup à la vue que j’avais de Bordeaux quand j’habitais à Nansouty.

    Répondre à ce message

  • Le 9 janvier 2012 à 09:25, par Vincent.P

    C’est beau une ville depuis les toits. Et Bordeaux partage plus qu’on veut le dire avec Toulouse. En l’espèce, la vue est prise du sommet du parking des Carmes.

    Répondre à ce message

  • Le 11 janvier 2012 à 14:03, par Vincent.P

    Quelle relation la Gascogne projetée doit-elle entretenir avec cette ville qui lui échappe quelque peu ?
    En effet, Toulouse est une interface, la porte d’entrée des pays gascons à la fois sur les contreforts du Massif Central et la Méditerranée.

    Mais Toulouse est aussi largement ancrée sur sa rive gauche, pleinement gasconne dans les temps anciens, je dirais même que l’extension de la ville se fera surtout rive gauche, plus propice d’un point de vue géographique, là où rive droite, la ville bloque vite sur les coteaux.
    Et puis Toulouse, c’est la préfecture de la Haute-Garonne, département majoritairement gascon.
    Et toujours est-il qu’il serait ridicule de nier tout ce que la Gascogne de l’Est doit à cette ville, Gascogne de l’Est qui a participé à son peuplement.
    Ajoutons que linguistiquement, les parlers toulousains apparaissent là aussi pour véritablement intermédiaires entre Gascogne et Languedoc (allez voir l’ALF le point Donneville).

    Cependant, l’avenir de la Gascogne à mon sens, sans se désengager totalement des aires urbaines métropolitaines, passe par une coupure au moins institutionnelle avec Toulouse (et a fortiori Bordeaux).
    On pourrait comme nous l’avons écrit par ailleurs concevoir une "ville-libre" toulousaine constituée de la ville et son agglomération, ce faisant rendant toute leur marge de manoeuvre à des petites villes de Gascogne toulousaine (Rieumes, Lèguevin, ...).

    Répondre à ce message


Un gran de sau ?

(identification facultative)
[Se connecter]
Ajoutez votre commentaire ici

Ce champ accepte les raccourcis SPIP {{gras}} {italique} -*liste [texte->url] <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Ajouter un document