Gascogne toulousaine

Tournefeuille


 

 

Lòcs (lieux-dits = toponymie, paysage...) de Tournefeuille :


 

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Vos commentaires

  • Le 29 janvier 2012 à 17:23, par Vincent.P

    L’abbé Lasplaces au 17ème siècle, confirme que le village se disait : "Tournohoueilho".
    Il n’a cependant jamais été douteux que l’on parla gascon à Tournefeuille.
    Cela ne l’est que pour les occitanistes qui ont un problème avec le bicéphalisme de Toulouse.

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  • Le 30 janvier 2012 à 10:01, par Desman Houston vous avez un problème

    Si cela n’a jamais été douteux, pourquoi l’évoquer ? ;)
    Tant que l’on continuera nos guéguerres de clochers Paris continuera d’écraser les identités régionales.

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  • Le 30 janvier 2012 à 11:36, par Vincent.P

    Ce n’est pas ma faute si les occitanistes enseignent le languedocien à Muret ...
    Il ne s’agit pas d’une guéguerre, mais de lutter maintenant contre la constitution par les occitanistes d’une zone-test pour leurs idées uniformisatrices, à savoir que le grand Toulouse est leur laboratoire pour imposer leur langue uniformisée, socle d’une identité en gestation, et à terme, c’est Midi-Pyrénées.

    Réaffirmer sur le net, au moins ça, le caractère gascon de la rive gauche de la Garonne sur Toulouse, c’est au moins témoigner contre l’occitanisme.

    Je dois dire que ce n’est pas fatalement avec plaisir : en effet, c’est l’occitanisme toulousain scientifique, mené par Ravier, Allières, Séguy, ... qui a aidé à définir la Gascogne, ou tout du moins à la ressusciter ... Aujourd’hui l’occitanisme a changé ...

    Quant aux guéguerres qui aideraient Paris dans sa mission exterminatrice, c’est de la politique de bac à sable : la culture régionale n’a jamais été aussi moribonde que depuis que nos élus locaux ont du pouvoir, notamment dans les matières culturelles.
    Et in fine, c’est la population autochtone qui a abandonné la langue, et aujourd’hui qu’elle est noyée dans la masse allogène héliotropique, surtout sur Toulouse, je vois difficilement en quoi Paris serait responsable ...

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  • Le 31 janvier 2012 à 09:44, par Desman

    Dans votre dernier paragraphe il me semble que vous confondez les causes et les conséquences. M’enfin, vaste débat...

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  • Le 31 janvier 2012 à 11:37, par Vincent.P

    Si le débat est vaste, alors il ne faut pas se contenter d’une phrase laconique.
    Les causes sont structurelles, les occitanistes ne sont pas responsables, mais leur action ajoute comme un catalyseur de la réaction, à savoir qu’ils tentent de sauver leur Occitanie dans la négation la plus hystérique du fait gascon.
    Pour des raisons théorisées depuis longtemps, à savoir qu’ils ont besoin de définir une culture, une langue normée, parce qu’il n’y a pas de nationalisme crédible qui ne passe par là. Midi-Pyrénées est ce laboratoire.

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  • Le 1er février 2012 à 17:41, par Desman

    Désolé si mon commentaire faisait trop ’troll’, ce n’était pas l’intention.
    En lisant votre texte j’ai trouvé un peu facile de jeter la pierre aux élus locaux alors qu’ils n’ont fait que hérité la situation actuelle.
    Si 95% de leurs administrés se fichent de la langue gasconne, pourquoi devraient-ils mettre le paquet la dessus ?
    On ne peut pas tout leur mettre sur le dos, même si il est vrai qu’une politique plus pro-active peut souvent s’avérer payante.
    (je cite donc un exemple cette fois, avec la commune de Saint-Lys où quelque chose est en train de naître avec enseignement en gascon toulousain, fêtes et évènements culturels. Les sceptiques des débuts ont disparu et maintenant tout le monde en redemande.)

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