Gascogne toulousaine Languedoc voisin Anneau gascon

Toulouse


 

 

Lòcs (lieux-dits = toponymie, paysage...) de Toulouse :

  • 10 juin 2020

    (Toulouse)

    As Médous
    Le Cadastre napoléonien de Toulouse (Section Y de l'Eglise de Saint-Simon, 1ère feuille) le (…)

  • 10 juin 2020

    (Toulouse)

    Le Rasclé Le Rascle
    Du côté de Saint Simon.

    (lo) Rascle

  • 9 juin 2020

    (Toulouse)

    Le Camp de Pau
    Cadastre de Toulouse.- Section X de Candie, feuille unique : Le camp de paou (entre le château (…)

    Pau
    Prononcer "Paou"

    (lo,eth) Camp
    Prononcer "(lou) Cam". Du latin campu(s) "champ".

  • 3 juin 2020

    (Toulouse)

    Le Loup
    Dans le quartier de Saint Simon. IGN : Le Loup FANTOIR : Camp del Loup Cad. napo. (Y1) : Cantou (…)

    (lo,eth) Lop
    Prononcer "(lou) loup".

  • 3 juin 2020

    (Toulouse)

    Francazal
    Une autre vocalisation effacée* : Cassini écrivait "Francaseaux". * comme à Colomiers En Sigau (…)

    Francasau
    Casaufranc en ordre inverse.


 

 

 

Vos commentaires

  • Le 8 janvier 2012 à 19:03, par Tederic M.

    Ça ressemble beaucoup à la vue que j’avais de Bordeaux quand j’habitais à Nansouty.

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  • Le 9 janvier 2012 à 09:25, par Vincent.P

    C’est beau une ville depuis les toits. Et Bordeaux partage plus qu’on veut le dire avec Toulouse. En l’espèce, la vue est prise du sommet du parking des Carmes.

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  • Le 11 janvier 2012 à 14:03, par Vincent.P

    Quelle relation la Gascogne projetée doit-elle entretenir avec cette ville qui lui échappe quelque peu ?
    En effet, Toulouse est une interface, la porte d’entrée des pays gascons à la fois sur les contreforts du Massif Central et la Méditerranée.

    Mais Toulouse est aussi largement ancrée sur sa rive gauche, pleinement gasconne dans les temps anciens, je dirais même que l’extension de la ville se fera surtout rive gauche, plus propice d’un point de vue géographique, là où rive droite, la ville bloque vite sur les coteaux.
    Et puis Toulouse, c’est la préfecture de la Haute-Garonne, département majoritairement gascon.
    Et toujours est-il qu’il serait ridicule de nier tout ce que la Gascogne de l’Est doit à cette ville, Gascogne de l’Est qui a participé à son peuplement.
    Ajoutons que linguistiquement, les parlers toulousains apparaissent là aussi pour véritablement intermédiaires entre Gascogne et Languedoc (allez voir l’ALF le point Donneville).

    Cependant, l’avenir de la Gascogne à mon sens, sans se désengager totalement des aires urbaines métropolitaines, passe par une coupure au moins institutionnelle avec Toulouse (et a fortiori Bordeaux).
    On pourrait comme nous l’avons écrit par ailleurs concevoir une "ville-libre" toulousaine constituée de la ville et son agglomération, ce faisant rendant toute leur marge de manoeuvre à des petites villes de Gascogne toulousaine (Rieumes, Lèguevin, ...).

    Répondre à ce message


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