en graphie alibertine :
(lo) Rochet
Pourrait être une forme de Roquet influencée par le français.
Dans ce cas, et pour un emprunt ancien, on peut imaginer la prononciation de ch en t mouillé, ce qui justifie la graphie normalisée alibertine Rochet.
Pour les toponymes "Rouchet" de Gascogne toulousaine, il faudrait vérifier s’il n’y a pas confusion avec (ar)roget, voire (ar)rogèr.