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Artús

(masculin)
 en français : Arthur

 

Variante orthographique française : Arthus

Artús

Nartus (Lézat-sur-Lèze)
Allée du roi Artus (Arsac)
Arthus (Mauvezin-sur-Gupie)
Lartus (Castelnau-Barbarens)
Coume d’Artus (Alos)
Dartus (Vignonet)
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Vos commentaires

  • Le 12 avril 2006 à 13:43, par Cyril de Sagazan

    Qui en saurait davantage sur ce prénom ?
    Mille mercis de votre aide en période de choix difficile, et puis il ne me reste qu’un mois pour trouver !
    S.O.S.
    Cyril

    Réponse de Gasconha.com :
    Le web donne le plus souvent à Artus/Arthur une origine celtique : Arzh, Arth, Artos... qui voudrait dire "ours".
    A noter : le basque a un mot ressemblant pour "ours" : hartz.
    Allez, vous allez trouver !-)

    Répondre à ce message

  • Le 16 octobre 2014 à 22:58, par Tederic M. Arthus, Artus

    Pas d’attestation Geneanet du nom Arthus/Artus en Gascogne ; ce nom-prénom ne semble pas appartenir à la Gascogne ; il est présent en Languedoc, en France d’oïl...
    Mais pourquoi a-t-il donc été créé comme nom et comme prénom gascon sur Gasconha.com ?-)

    Artus

    Répondre à ce message

  • Le 16 octobre 2014 à 23:07, par Vincent P. Arthuu Heugar

    Le démembrement des feux de Béarn de 1385 mentionne un "Arthuu Heugar" à Loubieng.

    La forme gasconne est donc Artur, avec le -r final qui ne se prononce pas, classiquement.

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  • Le 13 décembre 2014 à 17:51, par Tederic M. Selon le dicod’Oc...

    Selon le dicod’Oc, le Palay donne "Artur, fabuleux roi des Bretons dont la légende est populaire en Gascogne. Que cour coum lou Réy Artus, allusion à la chasse d’Artur."
    Curieusement, l’accent tonique serait sur "A" : "Artus (àrtus)"
    Et aussi ceci :
    " Lou rèi Artus èro un grand cassaire.
    F. BLADÉ.
    En Gascogne et en Rouergue on croit que le roi Arthus est condamné à chasser dans les nuées iusqu’au jour du jugement ; et dans les nuits d’hiver, lorsqu’on entend un grand bruit dans les airs, on dit : es la casso dàu rbi Artus, v. galiero.
    Voici la tradition landaise rapportée par M. A. du Mège : un jour de fête solennelle, au milieu de la messo, Arthus fut averti qu’un sanglier était proche de l’église. Rien ne put retenir le monarque, trop amoureux de la chasse ; il saisit un épieu, sortit, et depuis le ciel l’a condamné à chasser éternellement et en vain dans les hautes régions de l’air."

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