penin

français : pénis d'enfant, petite chose, petit bout

Palay :
Multidiccionari francés-occitan

« penìn,-e s. – Pénis d’enfant ; par ext., petite chose, petit bout. N. de p. Penin, Peninou. Dim. peninét,-nòt,-e. » penhin = enfant (affectueux)


 

Grans de sau

  • Penhin = petit, demb un sens afectuos, en Vasadés

  • Coma lo Gabí­ pensi que s’agí­s de "penhin" (pégning) que significa "petit" damb una nuança afectuosa e que sembla tipicament garonés. Lo Palai ne’n parla pas briga.

  • Mais si, Danièl, lo Palay en parle et nous dit ceci :
    penin-e :" pénis d’enfant ; par ext. petite chose, petit bout. N.de p.,Penin,peninou. Dim. penin ?©t-n ?²t-e."

    Réponse de Gasconha.com :
    En raison du problème de codage de caractères encore non résolu à la suite de la migration, je dois remettre les caractères diacritiques à la main dans les gran de sau reçus.
    Je n’y arrive pas toujours... par exemple, "penin ?©t-n ?²t-e", c’est ce que Gasconha.com a reçu, et que je ne suis pas arrivé à décrypter.
    Pardon pour ces ratés, mais je pense que nous en viendrons à bout !
    Tederic lo webmèste

  • Joan-Pèir, vous avez raison, mais je voulais parler de "penhin / pegnin" qui lui, ne figure pas sur le Palai.
    Mais il se pourrait que "penhin" soit une variante affectueuse de "penin" dans le sens du français "bout de chou" en parlant d’un petit enfant.
    Tederic a raison de faire remarquer que nous avions déjà "penhin" à la page qu’il nous indique.
    Gasconha.com est en train de devenir une mine d’or linguistique.

    Réponse de Gasconha.com :
    Merci pour "la mine d’or" ! Oui, sans aller jusque là, il y a une base de données déjà assez riche, et sans équivalent pour le gascon.
    Normalement, il devrait y avoir une équipe d’universitaires qui fasse ce genre de choses, mais "rai !", nous le faisons à notre manière !
    Tederic M.

  • Tederic, en ce qui concerne le décryptage, il s’agit de peninét et de peninòt.

  • Bien que je ne sois pas certain d’avoir exagéré en parlant de "mine d’or", il est vrai que G.-com constitue une base de données sans équivalent.
    Quant aux universitaires, aquò rai, je pense que leur participation n’a rien d’indispensable ni de nécessaire.
    Il n’y a qu’à voir où en est rendu le Thesoc en ligne, prometteur à ses débuts et en friche depuis des années.
    Et des universitaires pour quoi faire ? Pour nous dire comment on devrait parler et écrire, c’est-à-dire comme eux, ou plutôt comme on leur a appris sur les bancs de l’Université ?
    Sans parler de la morgue, de la suffisance et de la vanité de certains d’entre eux qui se permettent de proférer des âneries tout en prenant les autres pour des ignares et des crétins qui ne comprennent rien à rien.

  • Je vous trouve un peu sévère Daniel.
    Moi je pense que la participation de tous est profitable à tout le monde.
    Les universitaires sont parfois un peu vaniteux mais au moins ils ont le mérite de faire en sorte que la langue noste (même si elle n’est plus à 100% gasconne) continue d’exister.
    C’est comme dans tous les domaines, les jeunes apprenants sont un peu imbus de leur savoir. Mais en règle générale la plupart d’entre eux sont humbles et cordiaux.
    On ne peut pas éviter une évolution, comme cela existe dans toutes les langues du monde. Ce n’est pas en les écartant que nous progresserons.

  • Joan-Pèir, je suis peut-être un peu sévère mais pas au point de dire qu’il faut écarter les universitaires.
    Mais s’il y a parmi eux des gens humbles et cordiaux (même si je pense qu’ils sont plutôt l’exception que la règle) qui veulent bien participer aux grans de sau, alors ce n’est pas moi qui m’en plaindrai.
    Des gens intelligents, aimables et corrects, il y en a dans tous les milieux, même chez eux. Des ânes diplômés, aussi.

    Réponse de Gasconha.com :
    Gasconha.com post-migration exige apparemment des titres même aux grans de sau ligats.
    Je compte donc m’amuser un peu avec, si vous n’en mettez pas vous mêmes.
    Merci de votre compréhension !
    [Tederic lo webmèste]

  • Mon idée sur le besoin d’une équipe d’universitaires, c’est que l’étude du gascon et de la Gascogne sont dignes de recevoir des moyens publics.
    Ensuite, que les chercheurs ou universitaires travaillent bien, c’est une autre question.
    De plus, nous avons besoin non seulement de chercheurs, mais de communicants (au sens noble du terme si possible) :
    il ne suffit pas de savoir les choses, il faut les faire savoir au grand public, surtout quand celui-ci ne connait pas le b-a-ba.

  • C’est vrai Tederic, que les "communicants" sont nécessaires, d’autant plus que ce site est extrêmement intéressant en ce sens qu’il n’est pas obligatoire de dominer la langue gasconne pour participer.
    Pour ceux qui comme moi n’ont pas eu la chance de la pratiquer et qui sont trop éloignés pour pouvoir s’immerger, ce site permet quand même de garder un lien avec ses origines.
    On y apprend beaucoup sur la langue mais aussi sur l’histoire et la géographie de la Gascogne.
    J’ai eu le plaisir de vous rencontrer à Dax au mois d’août dernier et j’ai apprécié votre simplicité et votre cordialité envers le "néophyte" que je suis. Cela s’appelle la véritable communication.


Un gran de sau ?

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