Pour ma part, je refuse de mourir si mes funérailles ne sont pas accompagnées de chants gascons, en polyphonie de préférence. J’accepte "L’Estela de la mar" bien qu’en désaccord avec le contenu. Essai de liste : – Hami de viver (mais pour moi, ce sera cuit !) – Qu’èm ço qui èm (de Nadau) (…)