en graphie alibertine :
Sàber-hèr
saber, sàber / savoirLa forme sàber avec l’accent tonique sur "sa" existe par endroits (...) |
har, héser, hèr / fairePrononcer "ha".
Autre forme assez courante : héser |
Prononcer "Sàbé-hè".
Difficile à graphier en franco-phonétique : par exemple, pour le lexique d’entre Montagnac et La Romieu, c’est bien sàber* avec l’accent tonique sur sa.
* Ce lexique note l’accent tonique par l’accent circonflexe : sâbé
N’y a qu’at boulérén tout sâbé é paga pas ré !
Il y en a qui voudraient tout savoir et ne rien payer !
(Personnes indiscrètes qui se mêlent toujours aux conversations d’autrui)
Mais ce n’est pas un lexique issu de l’Astarac.
Mais Georges dou Cadet, qui lui était d’Astarac, confirme :
un dynamismé qué vénguo dé nostés éluts, dé nostos assouçiatious, à sabé sé jutgeon qu’aquét moyèn dé culturo y un rassémblomén dé pèrsounos qu’aougeon nostos raçinos, é qu’ésprobén soubén uo réncountro, ou un salut amical
Il écrit sabé selon son système de mettre en gras pour dire la place de l’accent tonique.