L’écoute de ces textes, en oc comme en oïl, montre que la plupart des locuteurs choisis ont de la langue une maîtrise lettrée : c’est particulièrement net dans certains cas en oïl, où la prosodie est mi-théâtrale. Ce sont des érudits locaux que l’on a utilisés, pas le dernier paysan autochtone (…)