J’ai lu les commentaires de l’article du figaro. Il y a celui-ci qui concerne le gascon : On parlait patois, gascon, quand j’allais chez ma mère à Créon d’Armagnac, et je constate que je ne comprends bien, ni Bélis ni Pavie ; ces langues varient sur quelques kilomètres, il me semble très (…)