Le Médoc possède pourtant une identité gasconne très forte. Notre musicien gersois ne souffre-t-il pas d’un complexe de supériorité, comme étant du pays des mythiques fêtes de Condom, Nogaro ou Vic-Fezensac ? Sinon, une graphie "bâtarde", mi-alibertine (nhe) mi-patoisante (lous).