Còr de Bearn

Sarpourenx

- Vincent P.


 

Quiem


Les Trente Glorieuses ont vu fleurir en Béarn, et plus généralement dans l’ensemble du piémont pyrénéen, des maisons triangulaires, descendantes abâtardies des belles maisons basco-landaises des stations balnéaires.

Qu’en penser ? Ces maisons passent bien dans les banlieues de nos villes "piémontaises", aussi bien à Pau comme à Tarbes. C’est déjà nettement plus bizarroïde en pleine campagne, où le style à toiture haute domine encore, et avec lequel la maison à façade-pignon tranche (même si nous savons qu’il existe des maisons hybrides, dites "clouques").

Reste qu’il convient, selon moi, de regarder avec sympathie ces maisons, qui incarnent le rêve de la propriété de couples issus de la ruralité, maisons qui n’avaient pas perdu tout ancrage local, notamment par leur nom de baptême : "Qu’i èm", "Nous y sommes".


 

Un gran de sau ?

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