Je croyais au début que c’était lo pin graulèir déformé : ’’le pin isolé, où se posent les corneilles’’. Mais ce n’est pas ça, ni agraulet ’’houssaie’’... car le cadastre au XIXe indique ’’M. Grolot’’ et ’’Grolet’’ : c’est donc un patronyme tout bete !
Cela me rappelle ’’le Temple Gasconne’’ à Loupiac, ou ’’Grava-Brun’’ à St -Maixant, qui ne sont autres que des fusions de 2 toponymes bien différents (le Temple /la Gasconne ; le Grava / Brun). D’où l’intérêt, parfois, du cadastre napoléonien.